« L’Âme antique... » (Sagesse) offre, dans une forme parnassienne et en opposition au mythe antique, une mariologie qu’on érige en dogme que bien après : la Marie préservée de tout péché prend place comme co-salvatrice près du Christ, accroissant ainsi les revendications de la papauté contre le christocentrisme protestant. La littérature théologique et la comparaison au drame luthérien en vers de Nicolas Lenau, Savonarole, prouvent le haut degré de réflexion de la poésie religieuse verlainienne.
Thème CLIL : 4027 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Lettres -- Etudes littéraires générales et thématiques
ISBN :978-2-406-10091-1
EAN :9782406100911
ISSN : 2426-8860
DOI : 10.15122/isbn.978-2-406-10091-1.p.0215
Éditeur : Classiques Garnier
Mise en ligne : 24/02/2020
Périodicité : Annuelle
Langue : Français
Mots-clés : Paul Verlaine, littérature du XIXe siècle, Sagesse, religion, catholicisme, protestantisme, théologie, culte marial, Parnasse