Résumé : « L’Âme antique... » (Sagesse) offre, dans une forme parnassienne et en opposition au mythe antique, une mariologie qu’on érige en dogme que bien après : la Marie préservée de tout péché prend place comme co-salvatrice près du Christ, accroissant ainsi les revendications de la papauté contre le christocentrisme protestant. La littérature théologique et la comparaison au drame luthérien en vers de Nicolas Lenau, Savonarole, prouvent le haut degré de réflexion de la poésie religieuse verlainienne.