De L'Homme que j'ai tué à Frantz La paix n’aura pas lieu
- Publication type: Article from a collective work
- Collective work: Esthétique de la guerre - Éthique de la paix. Un siècle de littérature sur la Grande Guerre
- Author: Keller (Thomas)
- Pages: 263 to 277
- Collection: Encounters, n° 472
- Series: Twentieth and twenty-first century literature, n° 40
À travers l’analyse de la pièce L’Homme que j’ai tué (1921) de Maurice Rostand, du film Broken Lullaby (1932) d’Ernst Lubitsch et du film Frantz (2016) de François Ozon, cet article veut revenir sur l’histoire d’un fantasme : celui du soldat français, vivant, qui vient remplacer dans sa famille le fils allemand mort. Un fantasme qui repose sur l’idéal d’un projet réconciliateur entre la France et l’Allemagne, et dont l’esthétique cinématographique met aussi à jour les limites.
- CLIL theme: 4027 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Lettres -- Etudes littéraires générales et thématiques
- ISBN: 978-2-406-10583-1
- EAN: 9782406105831
- ISSN: 2261-1851
- DOI: 10.15122/isbn.978-2-406-10583-1.p.0263
- Publisher: Classiques Garnier
- Online publication: 02-08-2021
- Language: French
- Keyword: Théâtre, paix, aspérités, réconciliation, victime
