Cet article étudie les différentes façons dont le film Bedlam (1946) de Mark Robson peut être qualifié d’hogarthien, depuis les citations littérales des œuvres de l’artiste jusqu’à l’esprit subversif de son intrigue héritée des préoccupations humanitaires de Hogarth. Replaçant Bedlam dans une période de troubles à l’échelle mondiale et d’appels à réformer des établissements de santé mentale aux États-Unis, cet essai soutient que le film a également une dette plus profonde et politique envers le regard critique de Hogarth.
Thème CLIL : 3157 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Sciences de l'information et de la communication
ISBN :978-2-406-16972-7
EAN :9782406169727
ISSN : 2491-2557
DOI : 10.48611/isbn.978-2-406-16972-7.p.0199
Éditeur : Classiques Garnier
Mise en ligne : 15/05/2024
Périodicité : Semestrielle
Langue : Anglais
Mots-clés : Lumières, intermédialité, tableau vivant, hôpital St Mary’s of Bethlehem, établissements de santé mentale, Val Lewton, RKO, Mark Robson, Boris Karloff, horreur