Il existe un rapport que l’on pourrait qualifier de « fondamental » entre la poésie lyrique et la mort. La mort non pas à titre d’isotopie, ou thème, mais comme propos, comme fin. Ce à quoi se mesurerait le lyrisme, c’est, en fin de compte, la démesure de la mort. Laquelle ? Celle de l’autre, de l’être singulier à qui une parole singularisée, lyrique donc, cherche éperdument à renouer des liens d’interlocution.
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