Si leur rencontre n’eut jamais lieu dans la vie réelle, Corbière a certainement lu les Poëmes saturniens. Verlaine, de son côté, a découvert Les Amours jaunes presque dix années après leur parution. Son texte pour Les Poètes maudits montre qu’il est en connivence avec Corbière et l’on peut déceler des souvenirs de sa lecture dans Parallèlement. Ce qui unit les deux poètes reste cependant un art de la flânerie comme geste esthétique et comme attitude existentielle.
Thème CLIL : 4027 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Lettres -- Etudes littéraires générales et thématiques
ISBN :978-2-406-10091-1
EAN :9782406100911
ISSN : 2426-8860
DOI : 10.15122/isbn.978-2-406-10091-1.p.0091
Éditeur : Classiques Garnier
Mise en ligne : 24/02/2020
Périodicité : Annuelle
Langue : Français
Mots-clés : Paul Verlaine, Tristan Corbière, littérature du XIXe siècle, Les Amours Jaunes, Les Poètes maudits, bohème, flânerie