L’une des clefs essentielles de ce monde au bout du monde qu’est « Barbare » se trouve sans doute dans le jeu intertextuel que le poème provoque et incite à explorer. Une telle perspective conduit à s’aventurer dans le Tour du monde de 1874, et à inventorier les « coïncidences » verbales, non au sens d’un hasard, mais au sens où les textes d’un palimpseste se superposent avec exactitude. De sorte qu’une bonne part de la vision rimbaldienne tient à une récupération anamorphotique des récits de voyage.
Thème CLIL : 4028 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Lettres -- Etudes de littérature comparée