Laissant de côté les huit premier alinéas de « Barbare », l’article apporte d’aborde une précision pour le sens des « larmes blanches bouillantes ». Puis est récusé l’emploi du mot « extase » à propos du texte : « l’extase est muette, alors que le texte est bavard ». Le silence ne s’établit qu’après « Les pavillon… », qui renvoie à la Commune. Le fin mot du texte est « Douceurs », d’où apparaît de quoi parle Rimbaud. Le titre « Barbare » peut alors se comprendre au sens que donne à « Barbarus » Ovide dans Les Tristes.
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