Cette étude est le résultat d’une réflexion de plusieurs années qui a trouvé à s’exprimer de façon ponctuelle dans des colloques ou journées d’étude. Une dizaine de pages du présent ouvrage sont issues de quatre textes qui doivent être cités comme des points de départ avérés ; leurs contenus ont été profondément remaniés et remis en perspective dans le présent ouvrage, mais ils ont servi de matrice au développement de l’ensemble.
« Le roman moderne comme espace de la traduction », Silène, revue du Centre de recherches Littérature et poétique comparées de l’Université de Paris-Ouest [mis en ligne en 2006]. Disponible sur : http://www.revue-silene.com (consulté le 26 décembre 2016).
« Venise en trompe-l’œil : usages inquiets de l’art. Sur La Vénitienne de V. Nabokov et Le Vieux qui lisait des romans d’amour de L. Sepúlveda », colloque international Venise : héritages, passages, horizons : Cinquante ans de l’Association Internationale de Littérature Comparée Venise, Université Ca’ Foscari, 22-25 septembre 2005 ; publié sur CD-Rom : A partire da Venezia : Eredità, Transiti, Orizzoni. Cinquant’anni dell’AILC, edited by Paola Mildonian with the collaboration of Cristina Tinelli and Alessandro Scarsella, Venezia, Libreria Editrice Cafoscarina, 2009.
« Emportement de l’écriture : le mot-valise. Sur l’Amérussie (V. Nabokov) et l’inséparabe (H. Cixous) », Cadernos de literatura comparada, publication de l’Institut de Littérature comparée de la Faculté des Lettres de Porto, no 14/15, Textos e mundos em deslocaçao, tomo 2, 2006.
« Vladimir Nabokov “l’ami de Rabelais”. Enjeux d’une approche plurilingue de la littérature », Kaleidoscopic Nabokov, textes réunis par Lara Delage-Toriel et Monica Manolescu, Paris, Michel Houdiard éditeur, 2009.