Je salue la mémoire de Bernard Duchatelet qui m’a engagé à entreprendre ce travail. Je remercie Frédéric Caby qui m’a autorisé à exploiter les lettres de Romain Rolland en sa possession, Brigitte Vergne-Cain et Gérard Rudent pour leurs traductions, les ayants droit des archives Maurice Thorez, ainsi que Martine Liégeois et Roland Roudil et à travers eux tous les Amis de Romain Rolland.