La Bible Bayard, dite « des écrivains » parce que la traduction de chaque livre a été confiée à un binôme associant un écrivain et un bibliste, met l’accent sur la réception littéraire de la Bible. Cet article, en explorant les principes méthodologiques de cette traduction collaborative, montre que la construction du sens littéraire de la Bible ne va pas sans examiner à de nouveaux frais son ou ses sens exégétique(s).