Quitte à faire l’objet d’une razzia, nous avons le droit et peut-être le besoin d’être inventés par des énergumènes, amoureux du pécule et de la calligraphie, amateurs de caricatures et de vieilles fables, et de livres de chevalerie, des lecteurs de Lucien, Fournival, Merlin et l’Arioste, des gens qui s’en vont sans inquiétude chasser le Snark ou l’Hippogriffe, surtout s’ils n’existent pas […].