Des trois vertus théologales, l’espérance est la moins interrogée. Elle est pourtant la plus poétique des vertus, au moins en ce sens qu’elle affecte les trois pôles de la communication que sont l’énonciateur, l’énoncé et le récepteur. On propose de synthétiser la définition bossuétienne de l’espérance qui dit ensemble le tremblement de la condition humaine et sa consolation, sa séparation et sa grandeur, la mesure infinie de l’Espérance divine et la démesure trompeuse de l’espérance humaine.
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