Pour Florence Lautel-Ribstein,
qui a su motiver ces premiers pas vers la traductologie
après moultes digressions dans les coulisses des textes littéraires.
Mes amis traductologues et valéryens
sauraient sans mal se reconnaître dans ce travail,
et ma dette à leur égard reste entière.
Ce livre est aussi la réalisation de la promesse
que j’ai faite à Agathe Rouart-Valéry
lors de mes nombreuses visites au 40 rue Paul-Valéry
pour y consulter les manuscrits de son père.