Le lecteur trouvera dans ce livre de mœurs londoniennes quelques anglicismes. L’auteur a cru rendre ainsi plus vivement des traits de mœurs et de caractère. S’il s’est trompé, le mal n’est pas grand ; ces anglicismes ne sont pas plus difficiles à comprendre que ceux dont Messieurs les acteurs divertissent le public des théâtres et des cafés-concerts.
Il importe de ne pas voir dans Nell Horn une satire de l’Armée du Salut ; dans ces pays religieux que sont la Grande-Bretagne et les États-Unis d’Amérique, l’Armée du Salut a rendu de grands services en combattant l’alcoolisme et la criminalité.