Table des matières
- Type de publication : Chapitre d’ouvrage
- Ouvrage : Lignes sans réponses . Trois expériences poétiques des limites du langage
- Pages : 725 à 730
- Collection : Perspectives comparatistes, n° 92
- Série : Modernités et avant-gardes, n° 16
Chapitre d’ouvrage : Précédent 15/15
Table des matières
Remarques sur la présentation 7
Abréviations utilisées pour les œuvres des auteurs 7
Charles Baudelaire 7
Hugo von Hofmannsthal 7
Henri Michaux 9
Abréviations utilisées pour les œuvres
de Ludwig Wittgenstein 10
Introduction
Les limites du langage :
une question centrale d’un siècle à l’autre 13
L’expérience poétique des limites du langage
entre le tracé et la vista 14
Les limites du langage :
une métaphore spatiale et temporelle 16
Avec la lettre : limites du langage et limites de l’écriture 33
Trois poètes, deux métaphores :
les limites du langage entre rêve et maladie 45
La « révolution du langage poétique »
et un « carrefour de rencontres » 46
Du « matériel peut-être de force »
à la ligne « presque de danse » 60
PREMIÈRE PARTIE
BAUDELAIRE, HOFMANNSTHAL,
MICHAUX ET L’ABSOLU POÉTIQUE
Modernités et mythes de l’origine 69
Baudelaire, origine mythique de la modernité 70
Baudelaire et les modernités 71
Une réception composite 75
Hofmannsthal, poète du lien dans la Vienne fin-de-siècle 80
Décadence et renouveau 80
La figure du poète prophète 83
Hofmannsthal et l’ambiguïté de la modernité 85
Intériorisation et extériorisation :
la littérature comme engagement 88
Henri Michaux : la modernité comme victoire sur l’inertie 92
Michaux avec et contre 92
L’appel du large 95
La littérature par surcroît 101
La poésie et le poétique 103
Un rapport double à la limite 113
Figures du poète, héritages de Hugo 114
Métaphysique du mot et goût du dictionnaire 114
La « sublime fonction » poétique
et l’écriture « concaténée » 116
Les « gouffres du Verbe »
et le rajeunissement de la langue 119
Le jardin, l’infans et la « création muette » 127
Langage, confiance et croyance :
« raconter la vie » et « croyance enfantine » 130
Dualités, duplicités et postérités de Baudelaire 134
La fusion du double ou du triple élément 134
727Postérités de Baudelaire en France :
« not[er] l’inexprimable » 136
La poésie « musicienne de silence » 142
Baudelaire et le « goût allemand » 146
Le langage des « choses muettes » et le Stilleben 153
Hofmannsthal et l’héritage baudelairien 153
Poésie et vie 162
Hofmannsthal et la figure de Rimbaud 166
La crise de Lord Chandos 169
Extension du domaine poétique 175
Le sublime et l’indicible 176
La conception baudelairienne du sublime :
idéal et infini 176
Le « langage du rêve » et l’inexprimable 182
La métamorphose du problème des limites du langage 185
La littérature, l’art et les arts :
convergences et divergences
entre les avant-gardes françaises et autrichiennes 186
Le « corps-à-corps » de l’esprit
et du sensible sur la scène de théâtre 188
Du moi comme pure métaphore
à l’incarnation du rêve sur la scène 193
La poésie comme véhicule : le rythme et la vitesse 199
Entre-sens naissant et au-delà du sens 200
Trajets, passages 203
La forme et l’informe 213
La poésie « par des traits » : vers la peinture 217
D’une langue intermédiaire… 218
… aux signes directs 219
De la métaphysique à la physique du langage 224
De l’écriture à la ligne 227
728DEUXIÈME PARTIE
LA POÉSIE À L’ÉPREUVE
DES LIMITES DU LANGAGE
POÉTIQUES DE CONCILIATION
DES CONTRAIRES
Des humeurs de l’indicible à l’écriture de l’humour 233
Poétique du sang : le sang, figure de l’indicible
et métaphore du lyrisme 234
Le lyrisme du sang : hémorragie et circulation
chez Baudelaire et Michaux 235
Hofmannsthal : la question de l’artifice
et la poétique des entrailles 258
La mélancolie et l’humour entre gravité et légèreté,
classicisme et modernité 269
Mélancolie et comique absolu
chez Baudelaire et Hofmannsthal 269
L’humour entre « rage de l’expression »
et ravage de l’écriture chez Michaux 284
Postures du poète, impostures du langage :
le dandy, le misanthrope et le barbare 288
Baudelaire, le dandysme
et la « bonne humeur poétique » 288
De l’humour à l’art du passage
chez Hofmannsthal et Michaux 295
La maladie comme métaphore 311
La corruption du langage : la maladie comme métaphore
et la poésie comme symptôme 311
Une conception organiciste du langage 312
Figures de survivance,
de régénération et de renaissance 325
Des voix du pathologique aux signes de la libération 361
Baudelaire et Michaux : écrire et guérir, dire le mal
entre expressivité et incommunicabilité 361
Hofmannsthal entre « maladie du Moi »
et mal du siècle : de la purge à la cure 391
Du rêve d’une langue universelle à une poétique anthropologique des limites du langage 405
L’expérience du visage et l’énigme de la bouche 405
Les « yeux avides » et l’énigme de la bouche 409
Poétique du cri et surdité au langage 415
Le visage et l’appel 424
« Faire mauvais visage du langage » 431
Figures animales et humanité en question :
de l’ineffable aux fables du langage 434
Baudelaire entre chats et chiens 435
Hofmannsthal et la « souffrance indicible » de l’animal 443
Michaux et les fables de l’humanité 452
TROISIÈME PARTIE
DES LIMITES DU LANGAGE
AUX LIMITES DE LA POÉSIE
Promesses du langage et réponses poétiques 473
« Langage du rêve » et « rêve du langage » 473
Du « langage du rêve » à l’effet de rêve 474
Le « rêve du langage »
et la langue comme structure de promesse 491
Des promesses du langage aux promesses de l’écriture :
le paradigme de la traduction 499
Le poète traducteur de la « langue muette » 500
La traduction : de la métaphore à la métonymie 512
730Conscience de l’indicible et éthique du malentendu 519
Métaphores et métamorphoses de l’idée de limite :
des murailles au rivage 519
Murs, murailles, bornes 519
La plage, la grève et le rivage 527
Langage et malentendu 533
Baudelaire, le « Malentendu universel »
et le « droit de se contredire » 535
Hofmannsthal et Michaux : la « confusion des langues »
et le choix de l’informulé 539
L’art, la manière et le geste 551
La littérature, l’art et les arts 552
L’opéra en Europe et l’œuvre d’art totale 552
Désir de langage et « aventures de lignes » :
poésie et peinture 578
Une voie pour les limites du langage :
le geste et la danse comme accomplissement des limites 601
Baudelaire, les « gestes sublimes »
et la métaphore de la danseuse 609
Hofmannsthal, l’esthétique du geste
et l’art de la métamorphose : « Connais-toi toi-même » 620
Michaux, l’« allégresse de la vie motrice »
et la « conscience du Monde » 632
Conclusion
Vers une poétique de l’impondérable 645
Bibliographie 667
Index des noms 719
- Thème CLIL : 4028 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Lettres -- Etudes de littérature comparée
- ISBN : 978-2-406-09100-4
- EAN : 9782406091004
- ISSN : 2261-5709
- DOI : 10.15122/isbn.978-2-406-09100-4.p.0725
- Éditeur : Classiques Garnier
- Mise en ligne : 17/12/2019
- Langue : Français