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Classiques Garnier

Table des matières

  • Type de publication : Chapitre d’ouvrage
  • Ouvrage : Lignes sans réponses . Trois expériences poétiques des limites du langage
  • Pages : 725 à 730
  • Collection : Perspectives comparatistes, n° 92
  • Série : Modernités et avant-gardes, n° 16
  • Thème CLIL : 4028 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Lettres -- Etudes de littérature comparée
  • EAN : 9782406091004
  • ISBN : 978-2-406-09100-4
  • ISSN : 2261-5709
  • DOI : 10.15122/isbn.978-2-406-09100-4.p.0725
  • Éditeur : Classiques Garnier
  • Mise en ligne : 17/12/2019
  • Langue : Français
725

Table des matières

Remarques sur la présentation    7

Abréviations utilisées pour les œuvres des auteurs    7

Charles Baudelaire    7

Hugo von Hofmannsthal    7

Henri Michaux    9

Abréviations utilisées pour les œuvres
de Ludwig Wittgenstein   10

Introduction

Les limites du langage :
une question centrale dun siècle à lautre   13

Lexpérience poétique des limites du langage
entre le tracé et la vista   14

Les limites du langage :
une métaphore spatiale et temporelle   16

Avec la lettre : limites du langage et limites de lécriture   33

Trois poètes, deux métaphores :
les limites du langage entre rêve et maladie   45

La « révolution du langage poétique »
et un « carrefour de rencontres »   46

Du « matériel peut-être de force »
à la ligne « presque de danse »   60

726

PREMIÈRE PARTIE

BAUDELAIRE, HOFMANNSTHAL,
MICHAUX ET LABSOLU POÉTIQUE

Modernités et mythes de lorigine    69

Baudelaire, origine mythique de la modernité    70

Baudelaire et les modernités    71

Une réception composite    75

Hofmannsthal, poète du lien dans la Vienne fin-de-siècle    80

Décadence et renouveau    80

La figure du poète prophète    83

Hofmannsthal et lambiguïté de la modernité    85

Intériorisation et extériorisation :
la littérature comme engagement    88

Henri Michaux : la modernité comme victoire sur linertie    92

Michaux avec et contre    92

Lappel du large    95

La littérature par surcroît   101

La poésie et le poétique   103

Un rapport double à la limite   113

Figures du poète, héritages de Hugo   114

Métaphysique du mot et goût du dictionnaire   114

La « sublime fonction » poétique
et lécriture « concaténée »   116

Les « gouffres du Verbe »
et le rajeunissement de la langue   119

Le jardin, linfans et la « création muette »   127

Langage, confiance et croyance :
« raconter la vie » et « croyance enfantine »   130

Dualités, duplicités et postérités de Baudelaire   134

La fusion du double ou du triple élément   134

727

Postérités de Baudelaire en France :
« not[er] linexprimable »   136

La poésie « musicienne de silence »   142

Baudelaire et le « goût allemand »   146

Le langage des « choses muettes » et le Stilleben   153

Hofmannsthal et lhéritage baudelairien   153

Poésie et vie   162

Hofmannsthal et la figure de Rimbaud   166

La crise de Lord Chandos   169

Extension du domaine poétique   175

Le sublime et lindicible   176

La conception baudelairienne du sublime :
idéal et infini   176

Le « langage du rêve » et linexprimable   182

La métamorphose du problème des limites du langage   185

La littérature, lart et les arts :
convergences et divergences
entre les avant-gardes françaises et autrichiennes   186

Le « corps-à-corps » de lesprit
et du sensible sur la scène de théâtre   188

Du moi comme pure métaphore
à lincarnation du rêve sur la scène   193

La poésie comme véhicule : le rythme et la vitesse   199

Entre-sens naissant et au-delà du sens   200

Trajets, passages   203

La forme et linforme   213

La poésie « par des traits » : vers la peinture   217

Dune langue intermédiaire…   218

… aux signes directs   219

De la métaphysique à la physique du langage   224

De lécriture à la ligne   227

728

DEUXIÈME PARTIE

LA POÉSIE À LÉPREUVE
DES LIMITES DU LANGAGE

POÉTIQUES DE CONCILIATION
DES CONTRAIRES

Des humeurs de lindicible à lécriture de lhumour   233

Poétique du sang : le sang, figure de lindicible
et métaphore du lyrisme   234

Le lyrisme du sang : hémorragie et circulation
chez Baudelaire et Michaux   235

Hofmannsthal : la question de lartifice
et la poétique des entrailles   258

La mélancolie et lhumour entre gravité et légèreté,
classicisme et modernité   269

Mélancolie et comique absolu
chez Baudelaire et Hofmannsthal   269

Lhumour entre « rage de lexpression »
et ravage de lécriture chez Michaux   284

Postures du poète, impostures du langage :
le dandy, le misanthrope et le barbare   288

Baudelaire, le dandysme 
et la « bonne humeur poétique »   288

De lhumour à lart du passage
chez Hofmannsthal et Michaux   295

La maladie comme métaphore   311

La corruption du langage : la maladie comme métaphore
et la poésie comme symptôme    311

Une conception organiciste du langage   312

Figures de survivance,
de régénération et de renaissance   325

729

Des voix du pathologique aux signes de la libération   361

Baudelaire et Michaux : écrire et guérir, dire le mal
entre expressivité et incommunicabilité   361

Hofmannsthal entre « maladie du Moi »
et mal du siècle : de la purge à la cure   391

Du rêve dune langue universelle à une poétique anthropologique des limites du langage   405

Lexpérience du visage et lénigme de la bouche   405

Les « yeux avides » et lénigme de la bouche   409

Poétique du cri et surdité au langage   415

Le visage et lappel   424

« Faire mauvais visage du langage »   431

Figures animales et humanité en question :
de lineffable aux fables du langage   434

Baudelaire entre chats et chiens   435

Hofmannsthal et la « souffrance indicible » de lanimal   443

Michaux et les fables de lhumanité    452

TROISIÈME PARTIE

DES LIMITES DU LANGAGE
AUX LIMITES DE LA POÉSIE

Promesses du langage et réponses poétiques   473

« Langage du rêve » et « rêve du langage »   473

Du « langage du rêve » à leffet de rêve   474

Le « rêve du langage » 
et la langue comme structure de promesse   491

Des promesses du langage aux promesses de lécriture :
le paradigme de la traduction   499

Le poète traducteur de la « langue muette »   500

La traduction : de la métaphore à la métonymie   512

730

Conscience de lindicible et éthique du malentendu   519

Métaphores et métamorphoses de lidée de limite :
des murailles au rivage   519

Murs, murailles, bornes   519

La plage, la grève et le rivage   527

Langage et malentendu   533

Baudelaire, le « Malentendu universel »
et le « droit de se contredire »   535

Hofmannsthal et Michaux : la « confusion des langues »
et le choix de linformulé   539

Lart, la manière et le geste   551

La littérature, lart et les arts   552

Lopéra en Europe et lœuvre dart totale   552

Désir de langage et « aventures de lignes » :
poésie et peinture   578

Une voie pour les limites du langage :
le geste et la danse comme accomplissement des limites   601

Baudelaire, les « gestes sublimes »
et la métaphore de la danseuse   609

Hofmannsthal, lesthétique du geste
et lart de la métamorphose : « Connais-toi toi-même »   620

Michaux, l« allégresse de la vie motrice »
et la « conscience du Monde »   632

Conclusion

Vers une poétique de limpondérable   645

Bibliographie   667

Index des noms   719