À partir d’une considération générale du sujet de l’altérité, et en particulier dans les mémoires de voyageurs arabes en Sicile entre la fin du xixe siècle et le début du siècle suivant, on essaie de proposer ici une lecture critique des contes et des romans arabes de l’écrivaine sicilienne Annie Messina en relation avec sa représentation d’un amour absolu.