Table des matières
- Type de publication : Chapitre d’ouvrage
- Ouvrage : Les Concepts juridiques. Comment le droit rencontre le monde
- Pages : 453 à 457
- Collection : Bibliothèque de la pensée juridique, n° 16
Chapitre d’ouvrage : Précédent 19/19
Table des matières
Esquisse d’une description phénoménologique du droit 9
Le droit est langage et pratique, effectivité et effet d’annonce 11
La notion d’effectivité et ses deux significations 17
Droit et langage 19
Droit et temporalité 21
Temporalité psychologique 22
Temporalité formelle 25
Temporalité matérielle 28
Droit et intemporalité 28
Intemporalité historique 30
Intemporalité logique 33
Forme logique de la proposition juridique 54
De la structure à la signification 63
Le langage du droit n’est ni une langue
artificielle ni un code. C’est la langue naturelle 65
Le rêve du discours authentique.
Cratylisme et désignateurs rigides 70
Indétermination et limites du langage juridique 76
Remarques sur le langage de droit 84
Approche du concept juridique 101
L’usage courant des termes chez les juristes 103
Une approche philosophique 106
Une démarche indirecte 111
Le baptême de la poularde 112
454Un apologue d’Alf Ross. « Concepts » du sens
commun, expressions éliminables, états de choses 122
Interprétation rationaliste 131
Interprétation sceptique 134
Les expressions éliminables
ne sont pas les concepts cherchés 136
Concept juridique et logique 143
Élimination des notions de condition
et de conséquence 145
Paradoxes engendrés par le conditionnel matériel 145
Paradoxes du biconditionnel 148
Peut-on exprimer logiquement la juridicité du droit ? 150
La question de la cause 154
La valeur de vérité et le temps 157
Le point de vue de la logique standard
peut-il être dépassé ? 165
L’hypothèse du devoir-être 167
Normativité et performativité 171
Truth-maker et truth-bearer 174
Truth-maker, truth-bearer et propositions normatives 174
Propositions normatives générales et devoir-être 177
Propositions décisionnelles singulières 179
Truth-maker, truth-bearer et raisonnement normatif 180
La mineure du syllogisme est-elle descriptive ? 183
Performativité, truth-maker et devoir-être 185
Brèves considérations sur l’hypothèse du devoir-être 187
Devoir-être, positivisme et jusnaturalisme 194
Signification de la « “loi” de Hume » 198
Le devoir-être subjectif comme normativité faible 205
455Le concept juridique est une relation
Le concept juridique n’est ni une notion,
terme général désignant une essence,
ni l’expression d’un devoir-être 209
Concept de concept juridique et concept de droit 215
Concept de définition et définition du concept 219
Les sens du mot « définition » 220
Les éléments de la définition 221
Relation de la définition et du concept 223
Hypothèse d’exemplification 224
Distinction chronologique :
de la définition sans concept
à la nécessité d’articuler les deux notions 225
Distinctions logiques :
une relation d’espèce à genre… 230
… ou de signifiant à signifié 233
Hypothèse d’instanciation 237
Intuition et concept chez Kant 238
Le concept chez Hegel 240
Le concept comme terme universel 244
Le concept comme definitum 246
Concept, définition,
concept juridique et concept juridique 250
Les définitions dans le discours juridique 251
Le concept selon Frege 259
Spécificité des concepts juridiques 269
Optique discriminante et optique classificatoire 269
Spécificités matérielles 272
Spécificités formelles 279
Généralité, singularité et nécessité d’un juge 281
Proposition normative et vérité 287
– Vérité légale et vérité 291
–Vérité, vérité légale et indécidabilité 295
456Conséquences.
Ambiguïtés de la « qualification » et de l’identité 299
Existe-t-il des concepts juridiques empiriques ? 309
Existe-t-il des concepts juridiques au sens faible ? 313
Les composants nécessaires d’un concept juridique 317
Résumé des points acquis 317
Décision ou constat ? 319
Les concepts juridiques sont inachevés 323
Esquisse d’une définition du concept juridique 325
Objections 329
Indétermination et spécificité des concepts juridiques 332
L’application des règles 335
Conséquences 339
Réexamen de l’idée de devoir-être 342
Diversité des concepts juridiques 345
Des concepts à statut particulier ? 345
Les droits subjectifs 346
Spécificité des droits de l’homme 347
Nécessité de distinguer plusieurs
catégories de concepts juridiques 352
Concepts induits 354
Concepts projectifs 366
Règles et institutions 373
Le droit ne s’applique pas lui-même 375
La notion d’institution 381
Processus et résultat, sens large et sens étroit 382
Deux modes d’apparition des institutions juridiques 384
Deux types de catégorisation 386
Différentiation formelle 386
La création ex nihilo d’une entité juridique :
l’exemple du Conseil constitutionnel en France 388
Entité décrite et entité incarnée,
concept et institution 390
Différenciation matérielle 394
Formes intermédiaires 396
Délégation et investiture chez Hauriou 398
Investiture et habilitation 402
Passage d’une catégorie à l’autre.
Usage régulateur des concepts instituants 405
Interprétations possibles de la théorie d’Hauriou 406
Autre exemple : la séparation des pouvoirs 409
Pseudo-concepts et pseudo-concepts juridiques 412
Réalité et relativité de la distinction 416
Concept et métaconcept 419
Langage et métalangage,
discours du droit et discours sur le droit 420
Différence des deux approches 423
Unité ou pluralité du concept juridique 429
Conclusion
Puissance et limites du langage juridique 435
Index nominum 449
- Thème CLIL : 3126 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Philosophie
- ISBN : 978-2-406-11129-0
- EAN : 9782406111290
- ISSN : 2261-0731
- DOI : 10.48611/isbn.978-2-406-11129-0.p.0453
- Éditeur : Classiques Garnier
- Mise en ligne : 07/07/2021
- Langue : Français