À partir d’Adèle et Théodore (1782), du Discours sur l’éducation de M. le Dauphin (1790) et des Leçons d’une gouvernante à ses élèves (1791), on découvre comment Mme de Genlis s’est bâti un empire pédagogique en se servant du journal comme d’un instrument de pouvoir pour surveiller et éduquer ses élèves, contrôler et asservir ses collaborateurs, et même neutraliser la mère de ses élèves. Mme de Genlis reste visible, rayonnante et vertueuse, au centre du système : « La vertu cherche la lumière ».