Glossaire
- Type de publication : Chapitre d’ouvrage
- Ouvrage : Le Parnasse des poètes françois modernes contenant leurs plus riches & graves Sentences, Discours, Descriptions, & doctes enseignemens
- Pages : 499 à 504
- Collection : Textes de la Renaissance, n° 252
- Série : République des Muses, n° 6
glossaire
Chaque mot est suivi du numéro de pièce, puis du numéro du vers ; si le mot appartient au titre d’un lieu commun, le numéro est précédé de « t. ». Pour désigner les mots figurant dans l’adresse liminaire de Corrozet, on trouvera l’abréviation : « ad. » ; pour le sonnet de Corrozet suivant « s1 », pour celui de Moysson « s2 » et les odes de Tamisier, une numérotation des poèmes allant de « o1 » à « o5 ». Aucune marque dans le corps du texte ne signale une mise au glossaire des mots sélectionnés.
Les mots dont seule la graphie présente une variante assez peu différente de la graphie moderne (comme pour cueur, aymer, satisfaict, voluntiers, ou estroictement etc.) n’ont pas été intégrés.
Les mentions « première attestation » ou « hapax » sont données avec toutes les précautions d’usage et ne valent qu’en l’état actuel des dépouillements des textes et des bases électroniques.
Abismer 46, v. 6 : attirer dans les abîmes, engloutir.
Accort 338, v. 6 (adj.) : habile, rusé.
Accouardi 177, v. 2 (subst. masc.) : lâche (par dérivation d’accouardir : « rendre couard »).
Accroissance 491, v. 20 : accroissement.
Admonester 98, v. 1 : conseiller sagement.
Adonc 33, v. 1 (adv.) : à ce moment-là, alors.
Aimable (de soy) t. 508 : digne d’être aimé en soi-même.
Aimantine 21, v. 3 ; aymantin 139, v. 3 (adj.) : terme poétique moderne et rare, notamment employé par Ronsard (Amours, I, 23) et Jamyn dans les Œuvres poétiques pour qualifier ce qui a la propriété de l’aimant ; d’un amour magnétique.
Alumelle 44, v. 3 : lame de couteau.
Annuitter 344, v. 4 : être plongé dans la nuit.
Appareil 92, v. 4 : tenue procurant une apparence avantageuse ; 2. 122, v. 1 : préparatifs, projets ; 3. 377, v. 30 : préparation culinaire.
Apparesser (s’) 343, v. 2 : paresser, perdre son temps.
Appeter 7, v. 7 ; 9, v. 2 et passim : désirer, rechercher quelque chose.
Appetit 73, v. 7 : désir.
Appris 244, v. 2 (adj.) : instruits.
Aquit (par)29, v. 7 ; 377, v. 5 et passim : par obligation, par intérêt.
Ardre 221, v. 4 : brûler.
Arraisonner 104, v. 2 : faire entendre raison.
Artifice 50, v. 8 : savoir-faire.
Atrempence 240, v. 7 : tempérament modéré, modération.
Attraire 406, v. 3 : attirer.
500Attrempance 514, v. 34 : voir atrempence.
Aucunes fois 119, v. 21 (indéf.) : certaines fois.
Authorisé 256, v. 3 (adj.) : (ici) exemplaire.
Avette o1, v. 5 : abeille.
Aviser 373, v. 4 : observer.
Bailler 306, v. 13 ; 377, v. 9 et passim : donner.
Bale 40, v. 19 : enveloppe d’une graine de céréale.
Bander (se) 397, v. 5 : (ici) se rassembler, se liguer (litt. « se mettre en bande »).
Benigne 142, v. 1 : bienveillante, bonne.
Bien-heuré 380, v. 5 : rendre heureux.
Bien-heurés 380, v. 9 : bienheureux.
Blason 446, v. 1 et 6 : poème d’éloge ou de blâme.
Bonace 38, v. 3ou bonasse 164, v. 4 : calme (en parlant de la mer).
Borde 158, v. 2 : maison champêtre, chaumière.
Bougette 94, v. 6 : petit sac de voyage en cuir.
Bourrellement 188, v. 9 : « user bourrellement de cruauté » a le sens de « se montrer aussi cruel qu’un bourreau ». Il s’agirait de la première attestation de l’adverbe due à De Brach, ensuite repris par Montaigne en 1580.
Branle 307, v. 4 (subst. masc.) : mouvement d’oscillation.
Brasser 559, v. 18 : tramer secrètement.
Braver (sur l’amour)88, v. 37 : fanfaronnner.
Cachément 230, v. 3 : en secret.
Cagnarder 279, v. 2 ; 343, v. 3 et passim : rester paresseusement chez soi.
Camisade 66, v. 2 ; 229, v. 5 (subst. fem.) et passim : attaque nocturne visant à surprendre l’ennemi endormi ; introduit au xvie du toscan camiciata (dérivé de camicia « chemise » en raison de la chemise blanche que les soldats passaient par-dessus leurs armes, en signe de reconnaissance au cours de ces attaques nocturnes).
Cargue 66, v. 2 ; 229, v. 5 et passim : t. or. graph. de « charge », avancée des soldats sur le champ de bataille.
Cas 336, v. 4 : ensemble de choses nécessaires.
Caterreux 423, v. 6 : atteint de catarrhe (inflammation des glandes lacrymales).
Caulte 279, v. 9 (adj.) : avisée.
Cautelle 285, v. 25 ; 414, v. 3 : tromperie, ruse.
Certain (pou) 78, v. 1 (loc.) : il est certain que.
Chaloir (s’en) v. 448, v. 2 : s’en soucier.
Chenu 253, v. 7 : dont les cheveux sont devenus blancs de vieillesse.
Compasser 5, v. 10 : mesurer.
Conquesté 467, v. 2 (adj.) : conquis
Consommer 438, v. 1 : consumer.
Contemner 501, v. 6 : mépriser.
Contr ’ aimé 21, v. 5 : aimé en retour.
Corruptelle 485, v. 2 : corruption.
Coy 210, v. 3 (adj.) : qui se tient tranquille, sans bouger ni parler.
Crédit 140, v. 4 : considération.
Crible pertuisé 267, v. 3 : réceptacle dont le fond est percé de trous, sorte de tamis.
Croupe o2, v. 13 : (ici) sommet arrondi de la montagne voisine du Parnasse, l’Hélicon, lieu de vie des Muses.
Cure (avoir) 377, v. 1 : se soucier de.
Cuyder + inf. 532, v. 2 : croire à tort.
Dam 48, v. 2 ; 410, v. 14 et passim : dommage, préjudice.
Damnement 402, v. 3 : damnation.
Débile 423, v. 6 : faible.
Débilité 262, v. 9 : faiblesse (physique et morale).
501Decevoir 541, v. 2 : tromper.
Decoupez 367, v. 6 (adj.) : couverts de fourrures.
Defaire 546, v. 2 : anéantir, vaincre.
Defascher (se) 400, v. 3 : se détendre.
Deffaits 382, v. 6 (adj.) : qui est réduit à un état misérable.
Deffermer 365, v. 2 : ouvrir ce qui est fermé.
Déité 4, v. 11 ; 56, v. 4 et passim : nature divine.
Deleble 421, v. 2 : hapax de Pontus de Tyard, du latin delebilis « qui peut être détruit ».
Délivre 322, v. 3 (adj.) : libre.
Demerite 359, v. 3 (subst. masc. ou fém.) : faute, ce qui fait qu’on mérite la réprobation.
Dent 521, v. 3 : rancune, animosité, ressentiment.
Departir ad. ; 57, v. 8 et passim : partager.
Desbord 360, v. 4 : débordement.
Desireux 132, v. 4 (hapax dans cet emploi subst. masc.) : celui qui désire.
Despens 88, v. 18 (subst. masc. plur.) : frais.
Destraver 555, v. 1 : détourner du droit chemin, troubler (litt. « sortir de ses entraves »).
Deult 383, v. 7 : P3 du prés. de l’ind. de « doloir », souffrir moralement.
Devant que + verbe 44, v. 16 ; 113, v. 17 et passim : avant de.
Dispos 74, v. 2 : alertes.
Dol 182, v. 4 : tromperie.
Dolent 103, v. 2 (adj.) : malheureux.
Ecarmoucher 71, v. 20 : combattre par escarmouches, c’est-à-dire sur de courtes durées contre des éléments ennemis isolés.
Elargir 464, v. 6 : donner avec largesse.
Empêcher (s’) 218, v. 9 : s’embarrasser.
Empenné 241, v. 5 : garni de plumes, ailé.
Encourtiné 422, v. 16 (adj.) : entouré.
Endroit 460, v. 2 : en ce qui me regarde, pour moi.
Engarder 1. 39, v. 5 : empêcher ; 2. 390, v. 5 ; protéger, mettre en garde.
Engravé 241, v. 11 : gravé.
Enseigneur 105, v. 6 (subst. masc.) : celui qui enseigne.
Enter 233, v. 13 : greffer (un végétal).
Entregent 226, v. 6 : civilité.
Entreprise 410, v. 34 : ce que l’on entreprend de faire, projet.
Entresuitte 344, v. 1 : suite ininterrompue.
Entrevendre (s’) 413, v. 8 : se vendre réciproquement.
Envieillir 418, v. 1 : vieillir.
Envitailler 488, v. 8 : approvisionner, ravitailler.
Epuyser s2, v. 7 : puiser, tirer des connaissances jusqu’à plus soif.
Escarcelle 404 v. 13 : bourse attachée à la ceinture.
Eschever 129, v. 11 : éviter.
Esmouvoir 409, v. 2 et v. 3 : mettre en mouvement.
Esphere 69, v. 21 : sphère.
Espoindre 216, v. 3 : aiguillonner.
Estrange 93, v. 9 ; 425, v. 6 et passim (adj.) : étranger.
Estuyer 464, v. 5 : mettre dans un étui, dans une boite.
Exceder o3, v. 7 : surpasser.
Excellence 438, v. 3 (subst. fém.) : éminence.
Exerciter 491, v. 21 : mettre à l’épreuve.
Expres (tout) 331, v. 2 : expressément.
Faconde 265, v. 2 ; 327, v. 10 et passim : éloquence facile et abondante.
Fame o4, v. 3 : renommée.
Fantasie 18, v. 3 : imagination.
Fascherie 308, v. 24 : peine.
Faut 291, v. 5 : de « faillir », d’où « faire défaut ».
502Felon 415, v. 2 : cruel.
Feste 361, v. 7 : faîte.
Fiance 152, v. 3 : confiance.
Finer (ne) 326, v. 6 : finir, cesser.
Folastre 88, v. 20 (subst. masc.) : extravagant.
Forclos 197, v. 14 : privé.
Forment 212, v. 2 (subst. masc.) : froment, blé.
Forvoyant 273, v. 6 (adj.) : égaré, qui s’écarte de la voie juste.
Fourrier 91, v. 5 (subst. masc.) : chargé d’assurer le logement à la cour.
Fraudé 558, v. 3 (adj.) : frauduleux.
Furier 93, v. 11 : être en furie.
Garde 379, v. 2 (subst. fém.) : gardienne.
Gaudisseur 91, v. 10 : joyeux compagnon.
Gaudy 44, v. 13 : joyeux.
Gehenne 368, v. 61 : tourment, torture.
Gendarme 264, v. 3 ; 378, v. 2 et passim : homme de guerre.
Gentil 6, v. 4 : bien né.
Gloutonnie 153, v. 2 : t. or. graph. de gloutonnerie.
Graper ad. : action de cueillir des grappes de raisin, (ici) « piller ».
Guerdon s2, v. 10 (subst. masc.) : récompense.
Habitateur 241, v. 4 (subst. masc.) : habitant.
Hautesse s1, v. 11 : grandeur et noblesse.
Hayneux 552, v. 2 (subt. masc.) : ennemi.
Hostellerie 318, v. 4 : demeure. En l’occurrence au sens figuré pour désigner le lieu où l’âme réside lors du dernier voyage.
Humeur 336, v. 2 ; 523, v. 23 et passim : substance liquide qui se trouve dans l’organisme et qui confère un tempérament différent à chaque individu.
Hybleans o1, v. 1 (adj.) : qualifie une espèce d’abeilles nourries par l’hièble nain (sambuculus ebulus). Les « prez Hybleans » désignent ainsi une contrée sicilienne, équivalente au Parnasse et à l’Arcadie (réminiscence de la dixième églogue des Bucoliques de Virgile).
Incontinent 26, v. 9 ; 325, v. 1 : aussitôt.
Indique 508, v. 6 (adj.) : indien.
Inexercité 234, v. 9 : hapax de Saint-Gelais, « inexpérimenté ».
Iré 213, v. 4 ; ou Ireuse 210, v. 4 : emporté par la colère.
Isnel 241, v. 17 (adj.) : prompt.
Jaçoit que 159, v. 3 : quoique (Grammaire du français de la Renaissance, op. cit., X, 29-30).
Jurement 391, v. 5 : serment.
Lambrusque 47, v. 20 : vigne sauvage.
Liberalité (faire) 124, v. 1 : faire don, offrir.
Libre (adj. subst.) 536, v. 6 : homme de condition libre, qui se détermine donc sans contrainte.
Los 27, v. 4 (subst. masc.) : éloge.
Loy (avoir de) 72, v. 2 : devoir.
Machiner 156, v. 1 : tramer, ourdir quelque chose contre quelqu’un.
Maintien t. 12 : allure, attitude.
Malice 270, v. 5 : inclination à faire le mal.
Manie 347, v. 12 (subst. fem.) : aliénation mentale, folie.
Marri 361, v. 3 (adj.) : affligé.
Martel 133, v. 2 : au sens figuré de « tourment ».
Martyrer 132, v. 2 : martyriser.
Mauvaistié 413, v. 10 (subst. fém.) : qualité de ce qui est mauvais.
Menteresse 26, v. 6 (adj.) : mensongère.
Meprisement 301, v. 4 (subst. masc.) : mépris, dédain.
503Mercadant 489, v. 7 (subst. masc.) : marchant.
Meschef 70, v. 4 ; 362, v. 7 et passim : calamité, malheur.
Morion 71, v. 25 : casque léger à bords relevés devant et derrière, et à calotte sphérique.
Mousse 417, v. 5 (adj.) : émoussé.
Moyen t. 469 ; 469 v. 2 : juste milieu, équilibre.
Muis 58, v. 2 : tonneaux de la capacité d’un muid (unité de mesure régionale très variable).
Munde 324, v. 7 ; 357, v. 7 et passim (adj.) : sans souillure.
Muser 44, v. 9 et v. 10 : perdre son temps.
Naus-froissantes (ondes) 135, v. 1 : litt. « ondes briseuses de navire ».
Nautonnier 211, v. 3 : marin, matelot.
Navré 91, v. 32 : profondément affecté.
Nielle 417, v. 14 : brume.
Nombrer 184, v. 1 : donner le nombre exact, compter.
Nuisante 168, v. 4 (adj. verb.) : nuisible.
Offencé 514, v. 6 : altéré.
Ord 23, v. 6, orde 40, v. 2 : sale, répugnant(e).
Outrecuidé 88, v. 21 (subst. masc.) : présomptueux, arrogant.
Paillarde 367, v. 7 (subst. fém.) : concubine.
Palus 344, v. 3 (subst. masc. ou fém.) : marécages.
Panetiere 390, v. 1 : besace pour ranger le pain.
Parfaict 336, v. 4 (subst. masc.) : perfection.
Parfin (à la) 55, v. 3 : à la fin.
Passions 8, v. 18 : souffrances, douleurs.
Pécune t. 275 : « argent monnayé » donc par extension « la richesse ».
Pennage 355, v. 7 : plumage des oiseaux de proie.
Pensement 220, v. 5 : pensées préoccu-
pations.
Perdurable 302, v. 2 ; 514, v. 5 et passim : qui dure très longtemps.
Pesteux 224, v. 12 : empesté.
Philosophie 1. 170, v. 5 ; t. 417 : science des principes et des causes (y compris des phénomènes naturels). 2. 234, v. 4, t. 418 : manière de vivre selon des principes.
Piperie 406, v. 2 : duperie.
Piquorée 189, v. 8 : pillage auquel se livrent les soldats.
Pléger 401, v. 2 : se porter garant pour quelqu’un, protéger.
Police 270, v. 6 ; 368, v. 61 et passim : bonne conduite.
Polu 179, v. 8 : souillé.
Populaire 397, v. 1 ; 431, v. 4 (subst. masc.) : peuple.
Porphire 40, v. 10 : roche dure d’un rouge foncé incrustée de cristaux blancs.
Postillant 308, v. 5 : hâtant.
Pourmener 110, v. 4 : déplacer, conduire.
Pourpenser 163, v. 4 : concevoir, méditer.
Pourtraire 141, v. 6 : représenter, peindre.
Preudhommie 8, v. 10 : probité, respectabilité.
Prins o3, v. 8, prinses o2, v. 12 : participes passés de prendre.
Proceder ad. (cplmt. du n. jalousie ?) : aller le premier, avoir la préséance.
Prodiguer (sa vie) 341, v. 6 : dévouer entièrement sa vie à.
Proesme 154, v. 5 : du latin proximum, le prochain.
Provence 471, v. 1 : t. or. graph. pour « province ».
Quartron 94, v. 7 : désigne le quart de quelque chose, en l’occurrence un 504« quartron de liberté » signifie donc « un petit espace de liberté ».
Race 40, v. 18 : génération.
Recepte (en) 59, v. 2 : de « receter » (ou « recepter ») au sens de recevoir chez soi, donner asile, abriter. Ici, les humains reçoivent les biens de Dieu, ils en sont les dépositaires, les réceptacles.
Rechiner 513, v. 12 : montrer les dents, faire la grimace. Avoir l’air maussade.
Recreatif 477, v. 7 : réjoui, joyeux.
Recresper 71, v. 6 : de « recrêpir » signifiant « enduire de crépi » ; en l’occurrence enduire une arme pour qu’elle adhère dans la main et/ou qu’elle soit plus solide (?).
Redonder (à) 402, v. 4 : revenir à.
Relever de peine ad. : soulager, libérer quelqu’un d’une difficulté ou d’une obligation.
Remonstrer 211, v. 3 : enseigner.
Reputer 237, v. 1 : considérer comme, tenir pour.
Restituée 557, v. 2 : rétablie (dans son état initial).
Retournée 525, v. 4 (adj.) : revenue, en parlant de la lumière d’un nouveau jour.
Ris 147, v. 7 (subst. masc.) : sourire, expression de joie.
Rondeau 69, v. 20 : désigne un objet en forme de cercle, en l’occurrence l’astre solaire.
S ’ attendre (en Dieu) 356, v. 4 : litt. « être en attente de Dieu », d’où « s’en remettre aux décisions de Dieu ».
Saoul 42, v. 3 : rassasié.
Sappe 71, v. 10 : houe utilisée pour creuser la terre, dont le manche est perpendiculaire à la lame.
Semptiller o3, v. 4 : scintiller.
Serain 2, v. 5 (subst. masc.) : calme, sérénité.
Serener 379, v. 6 : apaiser.
Si est-ce que 49, v. 9 : néanmoins.
Si que 2, v. 7 (loc. conj.) : de sorte que (cf.Grammaire du français de la Renaissance, op. cit., XVI, 25).
Siller 368, v. 52 : coudre les yeux d’un oiseau de proie ; par extension : « fermer les yeux ».
Songeard 423, v. 7 (adj.) : rêveur et mélancolique.
Souler 237, v. 3 ; 389, v. 4 et passim : contenter, satisfaire.
Substanté 197, v. 11 : sustenté.
Superintendance 196, v. 16 : entière responsabilité.
Survenir (à qqn.) 75, v. 4 : venir en aide à.
Taffetas 378, v. 4 : étoffe de soie unie et brillante.
Tanson 25, v. 3 (subst. fém.) : querelle, dispute.
Tire (d’une) 8, v. 22 : d’un coup.
Tortu 29, v. 4 ; 305, v. 4 et passim (adj.) : tordu, courbé ; ici au sens moral : « qui manque de droiture ».
Trac 333, v. 14 (subst. masc.) : trace, piste.
Trafique 290, v. 2 (subst. fém.) : commerce.
Urgent 357, v. 20 : accablant, tourmentant.
Vaisseau 464, v. 9 et 14 : récipient (ici : une boîte).
Viateur 495, v. 3 : voyageur.
Vif 254, v. 4 (subst. masc.) : modèle vivant.
Villain 306, v. 2 (subst. masc.) : homme de basse condition.
Voise 222, v. 7 : aille.
Yssir (en) 319, v. 11 : sortir.
- Thème CLIL : 3439 -- LITTÉRATURE GÉNÉRALE -- Oeuvres classiques -- Moderne (<1799)
- ISBN : 978-2-406-15869-1
- EAN : 9782406158691
- ISSN : 2105-2360
- DOI : 10.48611/isbn.978-2-406-15869-1.p.0499
- Éditeur : Classiques Garnier
- Mise en ligne : 31/01/2024
- Langue : Français