Table des figures
- Type de publication : Chapitre d’ouvrage
- Ouvrage : Le Mythe de fondation de Lugdunum
- Pages : 361 à 364
- Collection : Kaïnon - Anthropologie de la pensée ancienne, n° 22
Table des figures
Fig. 1 – Vue de Lyon depuis le nord selon du Pinet 1564, p. 28-29 (c’est l’éditeur qui signe la gravure). Source BnF Gallica Bibliothèque numérique 28
Fig. 2 – Maquette de Lugdunum, Collection de Lugdunum, musée & théâtres romains, © Métropole de Lyon / Lugdunum. Photo : Jean-Michel Degueule, Christian Thioc 30
Fig. 3 – Représentation des rapports sémantiques que le texte établit entre Arar et le poisson lunaire 72
Fig. 4 – Le gobelet de Lyon. Haut. Face A avec deux groupes, A1 serpent-aigle ; A2 personnage avec sanglier et oiseau. Bas. Face B, personnage avec chien et cerf. Gobelet aux dieux gaulois. Collection de Lugdunum, musée & théâtres romains, num. inv. : 2004.0.02 © Métropole de Lyon / Lugdunum. Photo : Jean-Michel Degueule, Christian Thioc 92
Fig. 5 – Le fondateur et le Génie de Lugdunum représentés sur des médaillons d’applique. A) Trouvé à St.-Colombe, conservé au Musée de Vienne. Wuilleumier, Audin 1952, fig. 97 p. 71 et 75. B) Trouvé à Orange, disparu. Wuilleumier, Audin 1952, fig. 97 p. 71 et 73 ; adaptation par Alejandro Merlán. C) Collection de Lugdunum, musée & théâtres romains, num. inv. : 2000.0.2587 © Métropole de Lyon / Lugdunum. Photo : Jean-Michel Degueule, Christian Thioc. D) Collection de Lugdunum, musée & théâtres romains, num. inv. : 2000.0.2586 © Métropole de Lyon / Lugdunum. Photo : Jean-Michel Degueule, Christian Thioc 105
Fig. 6 – Scène de chasse du cerf avec chiens sur une pièce de sigillée qui offre un vif contraste avec la « face B » du gobelet : on voit le mouvement rapide, nerveux, des animaux, l’agitation de la partie de chasse. Photo : Coralie Bay, Musée d’Argentomagus, Saint-Marcel, Indre 108
362Fig. 7 – Jeunes cerfs en été (d’après E. Caldwell dans Collyns 1902, p. 65) 113
Fig. 8 – Relations spatiales dans le mythe de Derg Corra 118
Fig. 9 – Le tracé urbain de Lugdunum avec les principaux éléments traités dans le chapitre. « A » tracé de la fondation colonial, « B» et « C », tracés postérieurs. Panneaux noirs, principaux centres de culte. Panneaux blancs, évents astronomiques détectés avec les alignements indiqués par des lignes de points, voir aussi fig. 4.3. Photo de base, Collection de Lugdunum, musée & théâtres romains, num. inv. : 2004.0.02 © Métropole de Lyon / Lugdunum. Photo : Jean-Michel Degueule, Christian Thioc. Tracé urbain adapté de Lenoble, Thirion 2018b, p. 488 fig. 796 135
Fig. 10 – A) Vue de la rue Roger Radisson (correspondant au decumanus de Lugdunum) vers l’Est (google earth). B) Vue de Fourvière depuis les gradins de l’amphithéâtre avec les positions du coucher du Soleil au solstice d’hiver (SH) et de la Lune au lunistice majeur Sud (LN) (photo et infographie A. C. González-García). Visibilité du terrain (transparence claire) depuis le temple municipal (C) et de l’amphithéâtre des Trois Gaules (D) (données prises de www.heywhatsthat.com consulté le 16/03/2022 et adaptées sur la carte de base de https://www.geoportail.gouv.fr/ consulté le 16/03/2022). Il n’y a pas de vision directe, mais il faut compter avec la hauteur importante de l’édifice et sa visibilité probable. E) Horizon depuis le temple municipal (www.heywhatsthat.com consulté le 16/03/2022), la flèche noire indique les azimuts entre 63º et 66º correspondant aux tracés 1 et 2, tous deux un peu plus au nord du point le plus saillant dans cette direction : le Col de la Rochette situé à 68 km et avec un azimut de 68º 17’ par rapport à Lugdunum 158
Fig. 11 – Capricorne à Lugdunum. En haut, Capricorne sur Fourvière, vue depuis l’amphithéâtre dans les années proches du changement d’ère, peu avant le lever du jour au cours des premiers jours d’août. Infographie A. C. González-García. En bas, Deniers frappés à Lugdunum en 12 av. n. è. avec la représentation du capricorne au revers (Giard 1983, p. 82, pl. XII) 160
363Fig. 12 – Schéma montrant la forme de construction du bassin monumental de Bibracte ; les orientations de l’axe mineur sont indiquées (adaptation partant d’Almagro, Gran-Aymerich 1991, fig. 83 p. 156 et fig. 84 p. 159). Encadré, forme de construction de l’amphithéâtre des Trois Gaules à partir de deux circonférences croisées sur un axe orienté en direction du coucher du Soleil au solstice d’hiver (plan de base : J. Gruyer, dans Aubin 1979b, Gallia 37-1, fig. 1 p. 87) 165
Fig. 13 – Scène de uenatio représentée sur un médaillon d’applique du Musée de Cologne, provenance inconnue. Roman-Germanic Museum / Rheinisches Bildarchiv Cologne. Photo : Anja Wegner 173
Fig. 14 – La plate-forme rituelle de Segeda et ses orientations astronomiques. Photos : F. Burillo. 244
Fig. 15 – En haut, répartition des monuments funéraires à croissant lunaire sur des stèles funéraires latines (Kooy 1981, Gallia 39-1, fig. 1 p. 46). En bas, distribution des inscriptions latines avec des noms de personne celtiques selon Raybould, Sims-Williams 2007. Les plus grandes densités correspondent aux zones les plus romanisées où l’utilisation de l’épigraphie est généralisée ; la distribution en surface indique la présence des locuteurs de langues celtiques 247
Fig. 16 – La colonne de gauche indique les situations de départ dans le mythe de Lugdunum et dans le Mabinogi gallois. La colonne de droite signale la situation finale des mêmes entités telles que nous les lisons dans le récit ou les devinons implicitement grâce à des jeux de mots et d’autres figures littéraires. La colonne du centre, enfin, signale les tropes littéraires dans chaque récit, files supérieure et inférieure, et les croisements entre les données fournies par les deux textes 264
Fig. 17 – La sphère céleste située autour d’un observateur. La position d’un astre peut être indiquée dans le système de référence azimutal (gauche), qui emploie comme coordonnées la hauteur angulaire h et l’azimut mesuré à partir du Nord jusqu’à A, ou dans le système équatorial (droite), qui emploie comme coordonnées la déclinaison δ et l’ascension droite α, dont l’origine des coordonnées γ est le point Bélier ou équinoxe 364de printemps dans l’hémisphère Nord. Les coordonnées horizontales sont locales alors que les équatoriales sont valables pour n’importe quel point de la planète à un instant donné. (Image A. C. González-García) 276
- Thème CLIL : 3127 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Philosophie -- Philosophie antique
- ISBN : 978-2-406-13339-1
- EAN : 9782406133391
- ISSN : 2428-713X
- DOI : 10.48611/isbn.978-2-406-13339-1.p.0361
- Éditeur : Classiques Garnier
- Mise en ligne : 30/11/2022
- Langue : Français