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Classiques Garnier

Table des figures

  • Publication type: Book chapter
  • Book: Le Mythe de fondation de Lugdunum
  • Pages: 361 to 364
  • Collection: Kaïnon - Anthropology of Ancient Thought, n° 22
  • CLIL theme: 3127 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Philosophie -- Philosophie antique
  • EAN: 9782406133391
  • ISBN: 978-2-406-13339-1
  • ISSN: 2428-713X
  • DOI: 10.48611/isbn.978-2-406-13339-1.p.0361
  • Publisher: Classiques Garnier
  • Online publication: 11-30-2022
  • Language: French
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Table des figures

Fig. 1 – Vue de Lyon depuis le nord selon du Pinet 1564, p. 28-29 (cest léditeur qui signe la gravure). Source BnF Gallica Bibliothèque numérique    28

Fig. 2 – Maquette de Lugdunum, Collection de Lugdunum, musée & théâtres romains, © Métropole de Lyon / Lugdunum. Photo : Jean-Michel Degueule, Christian Thioc    30

Fig. 3 – Représentation des rapports sémantiques que le texte établit entre Arar et le poisson lunaire    72

Fig. 4 – Le gobelet de Lyon. Haut. Face A avec deux groupes, A1 serpent-aigle ; A2 personnage avec sanglier et oiseau. Bas. Face B, personnage avec chien et cerf. Gobelet aux dieux gaulois. Collection de Lugdunum, musée & théâtres romains, num. inv. : 2004.0.02 © Métropole de Lyon / Lugdunum. Photo : Jean-Michel Degueule, Christian Thioc    92

Fig. 5 – Le fondateur et le Génie de Lugdunum représentés sur des médaillons dapplique. A) Trouvé à St.-Colombe, conservé au Musée de Vienne. Wuilleumier, Audin 1952, fig. 97 p. 71 et 75. B) Trouvé à Orange, disparu. Wuilleumier, Audin 1952, fig. 97 p. 71 et 73 ; adaptation par Alejandro Merlán. C) Collection de Lugdunum, musée & théâtres romains, num. inv. : 2000.0.2587 © Métropole de Lyon / Lugdunum. Photo : Jean-Michel Degueule, Christian Thioc. D) Collection de Lugdunum, musée & théâtres romains, num. inv. : 2000.0.2586 © Métropole de Lyon / Lugdunum. Photo : Jean-Michel Degueule, Christian Thioc  105

Fig. 6 – Scène de chasse du cerf avec chiens sur une pièce de sigillée qui offre un vif contraste avec la « face B » du gobelet : on voit le mouvement rapide, nerveux, des animaux, lagitation de la partie de chasse. Photo : Coralie Bay, Musée dArgentomagus, Saint-Marcel, Indre  108

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Fig. 7 – Jeunes cerfs en été (daprès E. Caldwell dans Collyns 1902, p. 65)  113

Fig. 8 – Relations spatiales dans le mythe de Derg Corra  118

Fig. 9 – Le tracé urbain de Lugdunum avec les principaux éléments traités dans le chapitre. « A » tracé de la fondation colonial, « B» et « C », tracés postérieurs. Panneaux noirs, principaux centres de culte. Panneaux blancs, évents astronomiques détectés avec les alignements indiqués par des lignes de points, voir aussi fig. 4.3. Photo de base, Collection de Lugdunum, musée & théâtres romains, num. inv. : 2004.0.02 © Métropole de Lyon / Lugdunum. Photo : Jean-Michel Degueule, Christian Thioc. Tracé urbain adapté de Lenoble, Thirion 2018b, p. 488 fig. 796  135

Fig. 10 – A) Vue de la rue Roger Radisson (correspondant au decumanus de Lugdunum) vers lEst (google earth). B) Vue de Fourvière depuis les gradins de lamphithéâtre avec les positions du coucher du Soleil au solstice dhiver (SH) et de la Lune au lunistice majeur Sud (LN) (photo et infographie A. C. González-García). Visibilité du terrain (transparence claire) depuis le temple municipal (C) et de lamphithéâtre des Trois Gaules (D) (données prises de www.heywhatsthat.com consulté le 16/03/2022 et adaptées sur la carte de base de https://www.geoportail.gouv.fr/ consulté le 16/03/2022). Il ny a pas de vision directe, mais il faut compter avec la hauteur importante de lédifice et sa visibilité probable. E) Horizon depuis le temple municipal (www.heywhatsthat.com consulté le 16/03/2022), la flèche noire indique les azimuts entre 63º et 66º correspondant aux tracés 1 et 2, tous deux un peu plus au nord du point le plus saillant dans cette direction : le Col de la Rochette situé à 68 km et avec un azimut de 68º 17 par rapport à Lugdunum  158

Fig. 11 – Capricorne à Lugdunum. En haut, Capricorne sur Fourvière, vue depuis lamphithéâtre dans les années proches du changement dère, peu avant le lever du jour au cours des premiers jours daoût. Infographie A. C. González-García. En bas, Deniers frappés à Lugdunum en 12 av. n. è. avec la représentation du capricorne au revers (Giard 1983, p. 82, pl. XII)  160

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Fig. 12 – Schéma montrant la forme de construction du bassin monumental de Bibracte ; les orientations de laxe mineur sont indiquées (adaptation partant dAlmagro, Gran-Aymerich 1991, fig. 83 p. 156 et fig. 84 p. 159). Encadré, forme de construction de lamphithéâtre des Trois Gaules à partir de deux circonférences croisées sur un axe orienté en direction du coucher du Soleil au solstice dhiver (plan de base : J. Gruyer, dans Aubin 1979b, Gallia 37-1, fig. 1 p. 87)  165

Fig. 13 – Scène de uenatio représentée sur un médaillon dapplique du Musée de Cologne, provenance inconnue. Roman-Germanic Museum / Rheinisches Bildarchiv Cologne. Photo : Anja Wegner  173

Fig. 14 – La plate-forme rituelle de Segeda et ses orientations astronomiques. Photos : F. Burillo. 244

Fig. 15 – En haut, répartition des monuments funéraires à croissant lunaire sur des stèles funéraires latines (Kooy 1981, Gallia 39-1, fig. 1 p. 46). En bas, distribution des inscriptions latines avec des noms de personne celtiques selon Raybould, Sims-Williams 2007. Les plus grandes densités correspondent aux zones les plus romanisées où lutilisation de lépigraphie est généralisée ; la distribution en surface indique la présence des locuteurs de langues celtiques  247

Fig. 16 – La colonne de gauche indique les situations de départ dans le mythe de Lugdunum et dans le Mabinogi gallois. La colonne de droite signale la situation finale des mêmes entités telles que nous les lisons dans le récit ou les devinons implicitement grâce à des jeux de mots et dautres figures littéraires. La colonne du centre, enfin, signale les tropes littéraires dans chaque récit, files supérieure et inférieure, et les croisements entre les données fournies par les deux textes  264

Fig. 17 – La sphère céleste située autour dun observateur. La position dun astre peut être indiquée dans le système de référence azimutal (gauche), qui emploie comme coordonnées la hauteur angulaire h et lazimut mesuré à partir du Nord jusquà A, ou dans le système équatorial (droite), qui emploie comme coordonnées la déclinaison δ et lascension droite α, dont lorigine des coordonnées γ est le point Bélier ou équinoxe 364de printemps dans lhémisphère Nord. Les coordonnées horizontales sont locales alors que les équatoriales sont valables pour nimporte quel point de la planète à un instant donné. (Image A. C. González-García)  276