Chacun sait qu’il y a, de nos jours, deux littératures : la mauvaise, qui est proprement illisible (on la lit beaucoup). Et la bonne, qui ne se lit pas. C’est ce que l’on a appelé, entre autres noms, le divorce de l’écrivain et du public.
1 Jean Paulhan, Les Fleurs de Tarbes ou La Terreur dans les Lettres (1941), Œuvres complètes. III. Les Fleurs de Tarbes, édition établie, préfacée et annotée par Bernard Baillaud, Paris, Gallimard, collection NRF, 2011, p. 116.