Index des noms propres de personnes
- Type de publication : Chapitre d’ouvrage
- Ouvrage : Le Lyrisme du Moyen Âge allemand. Choix de poèmes
- Pages : 203 à 210
- Collection : Moyen Âge en traduction, n° 11
Index des noms propres
de personnes
Notices
Albrecht von Johansdorf (attesté entre 1172 et 1210), poète lyrique.
Aliénor d’Aquitaine (1122 ou 1124 – 31 mars ou 1er avril 1204), reine de France (épouse de Louis VII), puis d’Angleterre (épouse de Henri II)
Bernard de Ventadour, l’un des plus célèbres troubadours du xiie siècle.
Bernger von Horheim (fin du xiie siècle), poète lyrique de la phase précoce du Minnesang.
Brahms, Johannes (1833-1897), compositeur allemand.
Burgrave de Ratisbonne (Der Burggraf von Regensburg : 1150-1170), l’un des plus anciens Minnesänger.
Burgrave de Rietenburg (Der Burggraf von Rietenburg : 1150-1170), poète lyrique, possiblement identique au Burgrave de Ratisbonne.
Bürk Mangolt, a composé, à en croire Hugo von Montfort, les mélodies de ses chansons.
Burckhard von Hohenfels (1re moitié du xiiie siècle), poète lyrique, un des premiers représentants du « style fleuri » (« geblümter Stil »)
Charlemagne (Karl der Große – mort en 814 à Aix-la-Chapelle), roi des francs à partir de 768, roi des Lombards à partir de 774, couronné (premier) empereur de l’occident chrétien à Rome par le pape Léon III le 24 ou 25 décembre 800, surnommé « Père de l’Europe » de son vivant.
Conon de Béthune, trouvère, mort en 1219/1220.
Der von Buchein, poète de l’époque tardive qui se tient aux modèles du Minnesang classique.
Der von Buwenburg (1289 et 1305), poète lyrique qui se démarque nettement du chanteur vagant.
Der von Kürenberg (entre 1150 et 1160), auteur de chansons d’amour dont le contenu est très éloigné du modèle de la Hohe Minne, représentant du lyrisme danubien.
Der wilde Alexander (dernier tiers du xiiie siècle), poète du « discours chanté »
Dietmar von Aist (entre 1139/40 et 1171), poète lyrique.
Dietrich von Meissen (1162-1221), margrave Basse-Lusace et margrave de Misnie.
204Eberhard von Cersne (aux environs de 1400), auteur de Der Minne Regel et de chansons.
Elisabeth de Thuringe ou de Hongrie (1207-1231), fille du roi André de Hongrie, épouse du landgrave Louis IV de Thuringe, canonisée en 1235.
Folquet de Marseille (après 1190), troubadour.
Fourquet, Jean-Philippe (1899-2001), germaniste français.
Frauenlob (vers 1250-1318), l’exemple le plus significatif des poètes du « discours chanté », passe pour le maître du « style fleuri » (geblümter Stil). Son œuvre offre une grande palette de thèmes et il se distingue des autres poètes par un art consommé de la forme et par la conscience qu’il manifeste de lui-même comme artiste.
Frédéric 1er, duc d’Autriche, fils et successeur de Leopold V, meurt en 1198.
Frédéric II (1194-1250), (Hohenstaufen), fils de Henri VI, couronné empereur par le pape en 1220, empereur de 1220 à 1250, a procuré un fief à Walther von der Vogelweide.
Friedrich von Hausen (vers 1150-1190), membre des familiers et conseillers de l’empereur Frédéric 1er Barberousse ; participant de la troisième croisade, 1189. Le 6 mai, il trouve la mort à la suite d’une chute de cheval en poursuivant des ennemis turcs lors de la troisième croisade, à la bataille de Philomelion en Asie Mineure ; représentant de l’école rhénane du Minnesang précoce, il adopte largement le modèle de la lyrique occitane et française considérée comme exemplaire.
Gace Brûlé (1160/70-1213), trouvère champenois.
Gottfried von Neifen (attesté entre 1235 et 1255), poète lyrique, caractérisé par la juxtaposition de chansons de la Hohe Minne et de pastourelles crues et sensuelles, l’utilisation d’éléments de la lyrique populaire, la virtuosité dans la métrique ainsi que l’art raffiné de la rime.
Gottfried von Strassburg, auteur du plus important roman allemand en vers ayant trait à la « matière de Tristan » (première décennie du xiiie siècle). Les continuateurs de son œuvre restée inachevée, Ulrich von Türheim et Heinrich von Freiberg, de même que le Codex de Manesse, le qualifient de « Meister », il est donc d’origine citadine. À côté de son Tristan, on lui attribue un certain nombre de poésies lyriques, qui ne sont peut-être pas authentiques. Mais on a toutes les raisons de supposer que la strophe traduite dans cet ouvrage, a été écrite par l’auteur du Tristan.
Guelfes, dynastie concurrente de celle des Hohenstaufen ; en sont issus par exemple le duc Henri le Lion et son fils, l’empereur Othon IV de Brunswick.
Guillaume IX d’Aquitaine (1071-1227), comte de Poitiers, le « premier troubadour »
Guiot de Provins (vers 1150-après 1208), trouvère.
Hartmann von Aue (vers 1160 – vers 1210), comme Heinrich von Veldeke ou Wolfram von Eschenbach, unit création romanesque et création lyrique. Il adapte en allemand les deux romans arthuriens de Chrétien 205de Troyes, Erec et Enide et Yvain ou le Chevalier au Lion : ce sont Erec et Iwein. Il compose en outre Gregorius, adaptation d’un modèle français, La Vie du pape Saint Grégoire, et la nouvelle Le Pauvre Henri. S’y ajoute le Büchlein, débat théorique en vers sur l’amour. Il a probablement participé à la « croisade allemande » de 1197. La particularité de Hartmann est d’être l’un des premiers à critiquer l’idée de Hohe Minne, et par là il ouvre la voie à Walther von der Vogelweide.
Hartwîc von Rûte (2e moitié du xiie siècle), poète lyrique faisant probablement partie du groupe rhénan (1170-1190)
Heinrich Heine (1797-1856), poète allemand.
Heinrich von Morungen (vers 1250-1222), poète lyrique de la phase classique du Minnesang qui dit de lui qu’il est « né pour chanter » et pour lequel la Minne est une force magique, irrésistible, hypnotisante, voire mortelle. On raconte de lui que, dans sa vieillesse, il a légué ses biens au monastère Saint-Thomas à Leipzig, où il serait mort en 1222.
Heinrich von Rugge (2e moitié du xiie siècle), poète lyrique faisant probablement partie du groupe rhénan (1170-1190)
Heinrich von Veldeke (vers 1140/1150-1210), poète lyrique, originaire du Limbourg, ainsi que fondateur du roman courtois en Allemagne (auteur de l’Eneasroman, adaptation du Roman d’Enéas)
Henri II Plantagenêt (1133-1189), roi d’Angleterre.
Henri VI (Kaiser Heinrich – 1165-1197) (Hohenstaufen), fils et successeur de Frédéric 1er Barberousse, empereur de 1190 à 1197, poète lyrique, à cause de sa position la plus élevée dans la hiérarchie sociale des Minnesänger, ses trois chansons d’amour sont placées en tête du Grand Chansonnier de Heidelberg et du Chansonnier de Weingarten.
Hiltbolt von Schwangau (attesté entre 1221 et 1256), poète lyrique de la phase tardive du Minnesang ; motifs et images de ses chansons appartiennent à la tradition du Minnesang classique. Il est l’aïeul de Margarethe von Schwangau, l’épouse d’Oswald von Wolkenstein.
Hohenstaufen (ou Staufen) : nom d’une dynastie d’empereurs entre le xie et le xiiie siècle ; les plus importants sont Frédéric I Barberousse (1152-1190, empereur de 1155 à 1190), Henri VI (1165-1197, empereur de 1190 à 1197) et Frédéric II (1194-1250, empereur de 1220 à 1250).
Hugo von Montfort (1357-1423), poète lyrique de la fin du Moyen Âge, œuvre poétique considérable mais sans large diffusion.
Jakob von Warte (attesté entre 1272 et 1327), poète lyrique suisse se rattachant à la tradition du Minnesang tardif.
Johannes de Grocheo (vers 1300), théoricien médiéval de la musique.
Johannes Hadlaub (vers 1280 – avant 1340), poète lyrique de Zurich, chante l’amour courtois dans la tradition du Haut Minnesang, mais il s’apparente aussi à la tradition villageoise de Neidhart (dans ses chansons de moisson). Il écrit non plus pour un public aristocratique, mais pour le patriciat urbain de Zurich. Si l’on en croit une de ses chansons, il 206appartenait au cercle des initiateurs du Grand Chansonnier de Heidelberg. Le poète a peut-être même apporté son concours à la composition du manuscrit.
Konrad der Junge, Konradin (1252-1268), poète lyrique, le dernier Hohenstaufen, héritier du royaume de Sicile, du royaume de Jérusalem et du duché de Souabe, décapité à l’âge de 16 ans à Naples, sur l’ordre de Charles d’Anjou, frère de saint Louis.
Konrad Paumann (+ 1452), auteur de chansons ainsi que d’un manuel d’orgue, le Fundamentum organisandi.
Konrad von Altstetten (attesté en 1268), poète lyrique de la phase tardive du Minnesang.
Konrad von Würzburg, (1220/30-1287), poète professionnel d’origine citadine, auteur de romans chevaleresques, de nouvelles, de récits hagiographiques, de poésies lyriques (une douzaine de chansons d’amour et de lais) et près de deux douzaines de poèmes du « discours chanté ». Sa poésie lyrique se distingue aussi bien par le « style fleuri » que par la virtuosité des rimes.
Léopold V, de la maison des Babenberg, mort en 1194, duc d’Autriche.
Léopold VI, duc d’Autriche, frère et successeur de Frédéric 1er, homme politique plus que mécène (mort en 1197)
Louis VII (1120-1180, roi de France.
Manesse, Rüdiger II (mort en 1304) et son fils Jean, probables initiateurs du Grand Chansonnier de Heidelberg qui, dit le poète Johannes Hadlaub, ont eux-mêmes rassemblé à Zurich de nombreux témoins du « noble chant »
Marguerite de Prades, veuve du roi Martin 1er d’Aragon. Elle a participé au sommet de Perpignan réuni en automne 1415 pour mettre fin au grand schisme d’Occident.
Marner (première moitié du xiiie siècle, assassiné en 1270), poète du « discours chanté » ; sa poésie présente un large éventail de procédés stylistiques et de genres (proverbes, fables, énigmes, poèmes mensongers, paraboles) et se caractérise par le ton passionné, bien que parfois aigri, des poèmes, par la vivacité des descriptions ainsi que par l’érudition et la culture dont fait preuve le poète.
Meinloh von Sevelingen (vers 1160-1180), poète lyrique de la phase précoce du Minnesang.
Michel Beheim (1420 – environ 1475), compositeur et poète du « discours chanté », auteur de plusieurs chroniques.
Moine de Salzburg (Mönch von Salzburg), poète et compositeur de la fin du xive siècle.
Neidhart (1re moitié du xiiie siècle), poète lyrique – à côté de Walther von der Vogelweide – le plus important du Moyen Âge allemand. Représentant du contre-chant, Neidhart charge dans le sens bouffon et prend le contre-pied de la poésie d’amour courtois. Il a ouvert à la lyrique allemande du Moyen Âge de nouvelles dimensions thématiques et formelles et l’a libérée de l’étroit corset contraignant de la canso d’amour traditionnelle.
Orff, Carl (1895-1982), compositeur allemand (œuvre la plus célèbre : Carmina Burana, 1937)
Orphée, héros de la mythologie grecque.
207Oswald von Wolkenstein (1376/77-1445), issu d’une famille aristocratique fort considérée du Tyrol, est l’auteur de strophes didactiques, de cantiques, de poèmes politiques, de chansons autobiographiques, et d’une lyrique d’amour très personnelle, dans laquelle il chante l’amour conjugal pour son épouse, Marguerite de Schwangau. La lyrique amoureuse est, à de rares exceptions près, l’expression d’un amour exaucé. S’appuyant sur la tradition musicale française et italienne, il introduisit la polyphonie dans ses compositions, effectuant des variations polyphoniques sur des mélodies monodiques préexistantes d’origine essentiellement française.
Othon IV de Brunswick, fils de Henri le Lion (Guelfe), empereur couronné à Rome en 1209, meurt en 1218.
Otto vom Turne (xiiie), poète lyrique de la phase tardive du Minnesang.
Ovide (43 av. J.C. – 17/18 ap. J.C.) : ses œuvres les plus connues sont L’Art d’Aimer et les Métamorphoses.
Peire Vidal (fin du xiie – début du xiiie siècle), troubadour.
Philippe de Souabe (Hohenstaufen), mort en 1208, fils de l’empereur Frédéric Barberousse, roi de Germanie (1198-1208), margrave de Toscane (1195-1208) et duc de Souabe (1196-1208).
Pilgrim II (1363-1396), archevêque de Salzbourg, mécène probable du poète connu sous le nom de Moine de Salzbourg.
Properce (vers 47-16/15), poète latin, auteur de quatre livres d’Élégie.
Puschman, Adam (1532-1600), maître-chanteur.
Reinmar der Fiedler (xiiie siècle), auteur de poèmes d’amour et du « discours chanté »
Reinmar l’Ancien (vers 1160/70-vers 1210), le représentant le plus typique de la nouvelle poésie d’amour créé d’après le modèle roman.
Reinmar von Zweter, le plus important poète du « discours chanté » après Walther von der Vogelweide et Frauenlob, son œuvre est à dater entre 1200 et 1260.
Richard Wagner, compositeur allemand (1813-1883).
Rubin (1re moitié du xiiie siècle), poète lyrique de la phase tardive du Minnesang.
Rudolf von (Fenis-) Neuenburg, (attesté entre 1201 et 1251), poète lyrique de la phase précoce du Minnesang, originaire de la région de Neuchâtel (en Suisse actuelle), où se rejoignaient les influences allemandes et romanes, et où la rencontre avec des poètes français, provençaux ou occitans allait sans doute de soi (la mère de Rudolf était, de surcroît, d’origine occitane).
Ruprecht (1352-1410) ou Robert du Palatinat, duc palatin de Bavière, élu roi des Romains en 1400, Robert 1er du Saint-Empire, fondateur de l’Université de Heidelberg en 1386.
Schenk von Limburg (échanson de Limpurg en Souabe), poète lyrique, représentant du Minnesang tardif (à dater dans la deuxième moitié du xiiie siècle).
Sigismond de Luxembourg, fils de l’empereur Charles IV (1368-1437), margrave de Brandebourg, roi de Hongrie à partir de 1387, roi des Romains depuis 1410 et empereur 208depuis 1433. Par la convocation du concile de Constance (1414-1418) il réussit à mettre fin au grand schisme d’Occident. Mécène de plusieurs poètes, dont Oswald von Wolkenstein, promu conseiller impérial en 1415.
Spervogel, le plus grand poète du « discours chanté » avant Walther von der Vogelweide ; mais au contraire de ce dernier, il n’a écrit aucune chanson d’amour. Il a traité essentiellement de sujets moraux et religieux, donnant à son public des conseils de vie pratique.
Staufen ou Hohenstaufen, dynastie d’empereurs allemands.
Steinmar (seconde moitié du xiiie siècle), poète lyrique de la phase tardive du Minnesang, représentant du contre-chant.
Süßkint von Trimberg, poète du « discours chanté » (seconde moitié du xiiie siècle), auteur d’un ton personnel et d’opinions humanistes très progressistes.
Tannhäuser (entre 1200 et 1270), représentant du contre-chant. Des poèmes de Tannhäuser se dégage une forte sensualité, qui se manifeste surtout dans la description du corps féminin dénudé, et ne connaît aucun tabou. Comme Heinrich von Morungen, Tannhäuser deviendra un personnage de légende.
Tibulle (54/50-19/18), poète latin élégiaque.
Ulrich von Liechtenstein (vers 1200-1275), auteur de cinquante-neuf chansons d’amour, insérées dans son autobiographie (fictive), connue sous le titre de Frauendienst (« Service de la dame »), écrite en 1255.
Ulrich von Winterstetten (attesté entre 1241 et 1280), poète lyrique de la phase tardive du Minnesang, se distingue par la forme artistique de ses poèmes.
Venceslas II de Bohème (Wenzel von Böhmen), roi de Bohême et de Pologne (1271-1305), poète lyrique du Minnesang tardif d’une œuvre comprenant trois chansons.
Virgile (70-19 av. J.C.), poète latin, auteur des Bucoliques, des Géorgiques et de l’Énéide.
Walther von der Vogelweide (vers 1170-vers 1230), vraisemblablement né en Basse-Autriche, est la personnalité la plus importante parmi les Minnesänger. Sont transmises de lui des chansons (au nombre de 90) ainsi que 150 poésies du « discours chanté » (Sangsprüche). Il a traité tous les grands thèmes du Moyen Âge, l’amour, la politique, la religion et l’éthique. Il remet en cause le caractère unilatéral du service de la dame tel qu’il est conçu traditionnellement, exige la réciprocité des sentiments de même que l’absolue égalité entre l’homme et la femme. La chanson « Sous le tilleul » chante l’amour réciproque qui est fondu dans la nature. Walther est mort à Würzburg où sa tombe se trouve encore aujourd’hui.
Walther von Klingen (vers 1220-1284), poète lyrique de la phase tardive du Minnesang.
Wernher von Hohenberg, ou Homberg (attesté entre 1286 et 1318), Minnesänger suisse, homme de guerre et politicien.
Wilhelm von Heinzenburg, poète lyrique (xiiie siècle)
Wolfger von Erla, évêque de Passau, mécène, a offert en 1203 une pelisse à 209Walther von der Vogelweide, seul document attestant son existence.
Wolfram von Eschenbach (1170-1220), ministérial de Franconie orientale, auteur du Parzival, adaptation du Conte del Graal de Chrétien de Troyes, du Willehalm, adaptation (demeurée inachevée) de la chanson de geste des Aliscans et d’un roman d’amour en strophes (resté également inachevé) portant le titre de Titurel, il nous a laissé une des œuvres lyriques les plus originales, comprenant presque uniquement des aubes (tageliet) et introduisant par là le modèle de l’alba occitane dans la littérature allemande.
Références
Albrecht von Johansdorf : 21, 54, 65, 85, 162
Aliénor d’Aquitaine : 12, 37
Bernard de Ventadour : 53
Bernger von Horheim : 57-58
Brahms, Johannes : 33
Burgrave de Ratisbonne : 45
Burgrave de Rietenburg : 17, 20, 45-46
Bürk Mangolt : 31, 179
Burckhard von Hohenfels : 27, 28, 138, 145
Charlemagne : 16
Christ : 77, 125, 180
Conon de Béthune : 53-54, 65
Der von Buchein : 143
Der von Buwenburg : 168
Der von Kürenberg : 17-19, 43-45, 48
Der wilde Alexander : 26, 126
Dietmar von Aist : 17, 20, 49
Dietrich von Meissen : 70
Dieu : 15, 22, 30, 45, 47, 53, 45, 47, 53, 55-56, 65-69, 75-77, 82-83, 85, 87, 88-92, 99, 102-103, 125, 128, 136, 141-142, 157, 159, 163-164, 174, 179-181, 186-187
Eberhard von Cersne : 31
Elisabeth de Thuringe (ou de Hongrie) : 40
Folquet de Marseille : 61
Fourquet, Jean-Philippe : 9, 17, 20, 23, 191
Frauenlob : 18, 26, 118-119, 124
Frédéric Ier, duc d’Autriche : 79, 86
Frédéric II : 38, 86
Friedrich von Hausen : 11(12, 20, 53-54, 57, 65, 162, 169
Gace Grûlé : 53, 62
Gottfried von Neifen : 27-28, 138-140, 143, 145, 147-148, 151
Gottfried von Strassburg : 9, 112
Guelfes : 25, 38, 146
Guillaume IX d’Aquitaine : 17
Guiot de Provins : 12, 53
Hartmann von Aue : 9, 21-22, 24, 32, 65, 75-77, 162
Hartwîc von Rûte : 20
Heinrich Heine : 85
Heinrich von Morungen : 14, 21-24, 27, 70-71, 80
Heinrich von Rugge : 20
Heinrich von Veldeke : 12, 20-22, 59, 75
210Henri II Plantagenêt : 12
Henri VI : 11, 20, 37, 51, 57, 86, 193
Hiltbolt von Schwangau : 146
Hohenstaufen (ou Staufen) : 25
Hugo von Montfort : 31, 33, 179, 181-182
Jakob von Warte : 173
Johannes de Grocheo : 10
Johannes Hadlaub : 18, 174
Konrad der Junge, Konradin : 39, 142
Konrad Paumann : 33
Konrad von Altstetten : 149
Konrad von Würzburg : 26, 37, 86, 116, 121, 148
Léopold V : 79, 86
Léopold VI : 86
Louis VII : 12, 37
Manesse, Rüdiger II : 174
Marguerite de Prades : 185
Marner : 26, 122-124
Meinloh von Sevelingen : 17, 20, 48
Michel Beheim : 19, 31
Moine de Salzburg : 30-31
Neidhart : 138, 140, 153-155, 161, 165, 174, 191
Orff, Carl : 27
Orphée : 23, 79
Oswald von Wolkenstein : 10, 19, 31-33, 179, 181-183
Othon IV de Brunswick : 25, 38
Otto vom Turne : 170
Ovide : 70
Peire Vidal : 62
Philippe de Souabe : 25, 37-38, 57, 86-87
Pilgrim II : 31
Properce : 171
Puschman, Adam : 191
Reinmar der Fiedler : 79
Reinmar l’Ancien : 14, 21, 23, 79, 86-87, 104
Reinmar von Zweter : 26, 79, 124
Richard Wagner : 30
Rubin : 131
Rudolf von (Fenis-) Neuenburg : 20, 61-62
Ruprecht : 184
Schenk von Limburg : 150-151
Sigismond de Luxembourg : 39-40, 181, 184-185
Spervogel : 115
Staufen (ou Hohenstaufen) : 25
Steinmar : 165, 167-168
Süßkint von Trimberg : 129
Tannhäuser : 27, 30, 122, 161-162, 165
Tibulle : 17
Ulrich von Liechtenstein : 27, 112, 132-133
Ulrich von Winterstetten : 27-28, 145, 147, 151
Venceslas II de Bohème : 171
Vierge : 17, 25, 180-182
Virgile : 70
Walther von der Vogelweide : 9, 11, 14-15, 21, 23-27, 33-34, 75, 79-80, 85-87, 90, 102-103, 115, 124, 131, 153-154
Walther von Klingen : 148
Wenzel von Böhmen : 171
Wernher von Hohenberg (ou Homberg) : 169
Wilhelm von Heinzenburg : 152
Wolfger von Erla : 38, 65, 85
Wolfram von Eschenbach : 9, 14, 21-23, 75, 80, 86, 103-104, 120-121, 145, 171, 173
- Thème CLIL : 3438 -- LITTÉRATURE GÉNÉRALE -- Oeuvres classiques -- Moyen Age
- ISBN : 978-2-406-12572-3
- EAN : 9782406125723
- ISSN : 2271-6963
- DOI : 10.48611/isbn.978-2-406-12572-3.p.0203
- Éditeur : Classiques Garnier
- Mise en ligne : 16/03/2022
- Langue : Français