Gide déclare souvent son admiration face à la maîtrise des auteurs latins, à même de s’exprimer en toute innocence sur l’un des thèmes tabous de la société moderne : l’amour pour les garçons. Des textes latins, il admire surtout leur capacité à dire le plus tout en disant le moins, en préservant une incontestable candeur dans l’expression. C’est sous cet angle que les Latins vont servir de modèles à sa prose, notamment dans Si le grain ne meurt.
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