Note de la traductrice
- Type de publication : Chapitre d’ouvrage
- Ouvrage : L’Intimité et l’Histoire. Lecture du Guépard
- Auteur : De Carolis (Chetro)
- Pages : 11 à 11
- Collection : Théorie de la littérature, n° 8
Note de la traductrice1
Ce livre est la traduction de Francesco Orlando, L’intimità e la storia. Lettura del Gattopardo, Torino, Einaudi, 1998. Les citations tirées du roman de Lampedusa font référence aux éditions suivantes : pour l’original italien, G. Tomasi di Lampedusa, Il Gattopardo, Milano, Feltrinelli, 1958, et, pour la version en français, G. Tomasi di Lampedusa, Le Guépard. Roman, traduit de l’italien par Jean-Paul Manganaro, nouvelle édition et postface par G. Lanza Tomasi, Paris, Seuil, 2007. Dans les notes on indiquera les pages du roman respectivement par F (comme Feltrinelli) suivi du numéro de la page en italique, et par S (comme Seuil) suivi du numéro de la page en romain.
Chetro De Carolis
1 Je tiens à exprimer ma gratitude à tous les êtres chers qui m’ont donné leur soutien et leurs conseils, en m’accompagnant tout au long de ce travail. Un travail que je n’aurais pas accompli sans l’aide de Jean-Marc Pelorson, à qui va mon plus grand merci : sa compétence de traducteur, la générosité et la patience de ses relectures ont fait de son apport et de notre « aventure » quelque chose que je n’hésiterais pas à définir une traduction à quatre mains, n’était mon souci de le dégager de toute responsabilité pour les nombreuses expressions que j’ai opiniâtrement gardées malgré ses mises en garde. En effet, la version finale est le fruit d’un compromis que j’ai recherché non sans peine entre la clarté qu’exige le français et les sinuosités du style de l’original – un style que je ne voulais surtout pas trahir, tant il reproduit les inflexions de la pensée même de l’auteur, dans un écrit que, tout en étant « sur » la littérature, on peut apparenter à celle-ci, telle y est la correspondance entre forme et signification. Un travail aussi complexe que beau. Je suis honorée d’en avoir été chargée, et j’en sais gré à Luciano Pellegrini et aux autres élèves et amis de Francesco Orlando, qui m’ont accordé leur confiance.