Que soit remercié Peter Schnyder, qui est – avec exigence et enthousiasme – depuis dix ans la Unruh de mes travaux sur Gide. Je lui dois la conviction et le plaisir de regarder très loin. À Ambre Philippe et Laurette Burgholzer ma gratitude pour l’accompagnement dans l’avancement du manuscrit. Un dernier « petit mot » pour celles et ceux qui ont contribué à cet ouvrage, conçu sous la devise de Gide : « Non s’efforcer vers le plaisir mais trouver son plaisir dans l’effort même ». (J, II, p. 105)