La Fontaine de Sapience figure dans le Théâtre italien de Gherardi, Paris, Jean-Baptiste Cusson et Pierre Witte, 1700, V, p. 293 à 334.
Éditions antérieures : voir notre Introduction, Établissement du texte.
La Fontaine de Sapience, comédie, figure sans nom d’auteur dans les éditions suivantes :
–Suite du Théâtre italien[…] s. l., 1697, p. 42-77.
–Supplémentdu Théâtre italien[…], Tome III, Amsterdam, A. Braakman, 1697-1698, p. 226-263.
–Le Théâtre italien, […] La Haye, Jacques Xuaur, 1698, p. 273-293.
Principes d’édition
L’orthographe a été modernisée comme dans les autres pièces du volume. Nous avons remplacé « Mr » par Monsieur. Les titres Arlequin défenseur du beau sexe, L’Entêtement déraisonnable, et le raisonnable désentêtement, Traité de l’Immortalité de l’Âme (scène 4) ont été mis en italiques.
Les partitions des cinq airs chantés par la bergère à la fin de la pièce qui dans le Recueil de Gherardi sont proposés après le texte, dans un ordre assez fantaisiste, sont réinsérées dans la dernière scène à l’emplacement qui leur revient. Les deux airs dont les paroles ne figurent ni dans le Recueil de 1700 ni dans les recueils réalisés sans l’aval de Gherardi sont reproduits en annexe.
Nous avons corrigé quelques fautes de composition, et remplacé « qu’il a » par « qu’il a eues » (sc. 2), « de hommes » par des hommes (sc. 3), « cantonnade » par « cantonade » (sc. 4), « cet heure » par « cette heure » (sc. 6), « soit-disant » par « soi-disant » (sc. 7), « faucet » par « fausset » (sc. 7), « annoblit » par « anoblit » (sc. 7), « cet humeur » par « cette humeur » (sc. 8).