L’homme vraiment libre et le comédien vraiment excellent ont ceci de commun qui les distingue de l’homme asservi à lui-même et du médiocre acteur : c’est qu’ils savent et avouent qu’ils jouent la comédie ou miment des sentiments.
Claude Roy, L’Amour du théâtre,Paris Gallimard, 1965 (Descriptions critiques, VI), « Le Paradoxe du spectateur », p. 27.