Table des incipit
- Type de publication : Chapitre d’ouvrage
- Ouvrage : Élégies, chansons et autres poésies
- Pages : 393 à 394
- Collection : Masculin/féminin dans l’Europe moderne, n° 10
- Série : xviie siècle, n° 2
Table des incipit
Entre parenthèses sont indiqués le genre puis le numéro du poème dans la présente édition. Les crochets sont à nouveau employés pour les pièces attribuées tardivement.
Ah ! c’est trop verser d’inutiles larmes (C. XXII)
Ah ! donnez-moi, Climène, ou la mort ou la vie (C. V)
Ah ! fuyons ce dangereux séjour (C. VII)
Ah ! qu’il est dangereux quand on a bien aimé (E. VII)
Ah ! qui peut tranquillement attendre (C. IX)
Au défaut de ma voix recevez mes soupirs (C. II)
Auprès de moi, ce dites-vous (Réponse II)
[Babet, qui que tu sois, que tes Lettres sont belles]
Beau Printemps, dont l’aimable abord (C. XII)
Belle et sage Daphné, merveille de nos jours (E. III)
Belle lumière vagabonde (O. II)
Bois écartés, demeures sombres (C. XIII)
Ce n’est point pour Lisis que je verse des larmes (M. III)
Cherchons, pour peindre Amarillis (O. IV)
Dans ce Bocage, où brille une jeune verdure (C. XXIII)
Délices des Étés, frais et sombres Bocages (C. XXVIII)
En vain, charmante Iris, j’oppose ma constance (E. VIII)
Esprit dont les belles clartés (Réponse III)
Étoiles d’une nuit plus belle que le jour (C. XXIV)
Faut-il donc me résoudre à m’éloigner des lieux (E. I)
Fière et faible raison, qui par de vains combats (E. VI)
Fille du Souverain des Dieux (O. III)
Forêts solitaires et sombres (C. XIV)
Il est enfin parti, cet homme incomparable (E. XI)
Il est vrai que l’Amour me tient sous son empire (Stances)
394Il ne faut pas que je m’abuse (Réponse I)
Il n’est donc que trop vrai que l’ingrat m’a laissée (C. IV)
Il n’est rien dans la vie (C. XVII)
Iris, tous vos serments n’étaient donc que des feintes (E. X)
J’ai juré mille fois de ne jamais aimer (C. III)
J’aime, je suis aimé ; cependant nuit et jour (C. VI)
J’ai voulu suivre une autre Loi (C. XXIX)
Je fuyais sous ces verts ombrages (C. XX)
Je m’abandonne à vous, amoureux souvenir (C. X)
Je sens au cœur un nouveau trouble (C. XIX)
Jeunes Amours, ne pleurez pas (M. II)
Laisse-moi soupirer, importune raison (C. I)
Laissez durer la nuit, impatiente Aurore (C. XXVI)
Le doux silence de nos Bois (C. XV)
Le Printemps rappelait les amoureux désirs (E. IV)
[Lisez, belle Philis, à loisir cet ouvrage]
[L’un se pique pour Job, l’autre pour Uranie]
Non, ce n’est point Philis qui cause mon martyre (M. IV)
Nous Amarillis qu’on révère (Jugement)
Ô Dieux, serait-il vrai que l’Amour m’eût soumise (E. IX)
Ô vous dont la présence eut pour moi tant de charmes (C. XXVII)
Ô vous ! dont le langage et sensible et flatteur (C. XXV)
Oui, je l’ai résolu d’être toujours cruelle (Sonnet)
Pensers où l’on se plaît, espérances flatteuses (E. II)
Que pour la pompe solennelle (O. I)
Qu’il est propre à se faire aimer (C. XXI)
[Sans amour et sans tendresse]
Savourons à longs traits cet excellent Muscat (C. XVI)
Sous ces ombrages verts, un Amant le plus tendre (C. XI)
Tristesse, ennui, chagrin, langueur, mélancolie (E. V)
Un Berger plus beau que le jour (C. XVIII)
Vous ne m’attirez point par vos attraits charmants (C. VIII)
Vous que charment les déplaisirs (M. I)