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Classiques Garnier

Table des incipit

  • Type de publication : Chapitre d’ouvrage
  • Ouvrage : Élégies, chansons et autres poésies
  • Pages : 393 à 394
  • Collection : Masculin/féminin dans l’Europe moderne, n° 10
  • Série : xviie siècle, n° 2
  • Thème CLIL : 4027 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Lettres -- Etudes littéraires générales et thématiques
  • EAN : 9782812439070
  • ISBN : 978-2-8124-3907-0
  • ISSN : 2261-5741
  • DOI : 10.15122/isbn.978-2-8124-3907-0.p.0393
  • Éditeur : Classiques Garnier
  • Mise en ligne : 28/04/2017
  • Langue : Français
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Table des incipit

Entre parenthèses sont indiqués le genre puis le numéro du poème dans la présente édition. Les crochets sont à nouveau employés pour les pièces attribuées tardivement.

Ah ! cest trop verser dinutiles larmes (C. XXII)

Ah ! donnez-moi, Climène, ou la mort ou la vie (C. V)

Ah ! fuyons ce dangereux séjour (C. VII)

Ah ! quil est dangereux quand on a bien aimé (E. VII)

Ah ! qui peut tranquillement attendre (C. IX)

Au défaut de ma voix recevez mes soupirs (C. II)

Auprès de moi, ce dites-vous (Réponse II)

[Babet, qui que tu sois, que tes Lettres sont belles]

Beau Printemps, dont laimable abord (C. XII)

Belle et sage Daphné, merveille de nos jours (E. III)

Belle lumière vagabonde (O. II)

Bois écartés, demeures sombres (C. XIII)

Ce nest point pour Lisis que je verse des larmes (M. III)

Cherchons, pour peindre Amarillis (O. IV)

Dans ce Bocage, où brille une jeune verdure (C. XXIII)

Délices des Étés, frais et sombres Bocages (C. XXVIII)

En vain, charmante Iris, joppose ma constance (E. VIII)

Esprit dont les belles clartés (Réponse III)

Étoiles dune nuit plus belle que le jour (C. XXIV)

Faut-il donc me résoudre à méloigner des lieux (E. I)

Fière et faible raison, qui par de vains combats (E. VI)

Fille du Souverain des Dieux (O. III)

Forêts solitaires et sombres (C. XIV)

Il est enfin parti, cet homme incomparable (E. XI)

Il est vrai que lAmour me tient sous son empire (Stances)

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Il ne faut pas que je mabuse (Réponse I)

Il nest donc que trop vrai que lingrat ma laissée (C. IV)

Il nest rien dans la vie (C. XVII)

Iris, tous vos serments nétaient donc que des feintes (E. X)

Jai juré mille fois de ne jamais aimer (C. III)

Jaime, je suis aimé ; cependant nuit et jour (C. VI)

Jai voulu suivre une autre Loi (C. XXIX)

Je fuyais sous ces verts ombrages (C. XX)

Je mabandonne à vous, amoureux souvenir (C. X)

Je sens au cœur un nouveau trouble (C. XIX)

Jeunes Amours, ne pleurez pas (M. II)

Laisse-moi soupirer, importune raison (C. I)

Laissez durer la nuit, impatiente Aurore (C. XXVI)

Le doux silence de nos Bois (C. XV)

Le Printemps rappelait les amoureux désirs (E. IV)

[Lisez, belle Philis, à loisir cet ouvrage]

[Lun se pique pour Job, lautre pour Uranie]

Non, ce nest point Philis qui cause mon martyre (M. IV)

Nous Amarillis quon révère (Jugement)

Ô Dieux, serait-il vrai que lAmour meût soumise (E. IX)

Ô vous dont la présence eut pour moi tant de charmes (C. XXVII)

Ô vous ! dont le langage et sensible et flatteur (C. XXV)

Oui, je lai résolu dêtre toujours cruelle (Sonnet)

Pensers où lon se plaît, espérances flatteuses (E. II)

Que pour la pompe solennelle (O. I)

Quil est propre à se faire aimer (C. XXI)

[Sans amour et sans tendresse]

Savourons à longs traits cet excellent Muscat (C. XVI)

Sous ces ombrages verts, un Amant le plus tendre (C. XI)

Tristesse, ennui, chagrin, langueur, mélancolie (E. V)

Un Berger plus beau que le jour (C. XVIII)

Vous ne mattirez point par vos attraits charmants (C. VIII)

Vous que charment les déplaisirs (M. I)