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Œuvres poétiques. Tome I Bucoliques, épigrammes, poésies diverses, élégies

  • Voir aussi : Tome II
  • Type de publication : Ouvrage
  • Auteur : Chénier (André)
  • Préfacier : Bellessort (André)
  • Nombre de pages : LIX-269
  • Réimpression de l’édition de : 1932
  • Collection : Classiques Jaunes, n° 222
  • Série : Littératures francophones
Actuellement disponible uniquement en version numérique
Pages I à LIX
André Chénier
Pages 3 à 4
I. Invocations à la poésie
Pages 4 à 8
II. Ma Muse
Pages 8 à 17
III. Le Poète et IV L'Aveugle
Pages 17 à 23
V. La Liberté
Pages 24 à 28
VI. Le Malade
Pages 28 à 39
VII. Le Mendiant
Pages 39 à 43
VIII. L'Esclave
Pages 43 à 49
IX. L'Oarystis (Imitée de Théocrite. XXVIIe Idylle)
Pages 50 à 51
X. Néère
Pages 51 à 52
XI. La Jeune Locrienne
Pages 52 à 53
XII. Mnazile et Chloé
Pages 53 à 55
XIII. Clytie
Pages 55 à 58
XIV. L'Amoureuse
Pages 58 à 60
XV. Damalis
Pages 60 à 60
XVI. Mnaïs (Traduction de la 98e épigramme de Léonidas de Tarente.)
Pages 61 à 62
XVII. Les Colombes
Pages 62 à 62
XVIII. Un bouvier parle
Pages 63 à 64
XIX. Les deux enfants et XX. Secrets observateurs
Pages 64 à 68
XXI. Les Idylles marines
Pages 68 à 74
XXII. Les Déesses
Pages 74 à 76
XXIII. Bacchus Imité d'Ovide (Métamorphoses).
Pages 76 à 78
XXIV. Jupiter et Europe
Pages 78 à 81
XXV. L'enlèvement d'Europe
Pages 81 à 84
XXVI. Pasiphaé
Pages 84 à 85
XXVII. Ariane et XXVIII. Médée
Pages 85 à 86
XXIX. Hercule
Pages 86 à 87
XXX. Hylas
Pages 88 à 90
XXXI. Orphée et XXXII. Le retour d'Ulysse
Pages 90 à 92
XXXIII. Pannychis
Pages 92 à 93
XXXIV. Les esclaves d'Amour ont tant versé de pleurs
Pages 93 à 93
XXXV. Non, non, le Dieu d'Amour n'est point l'effroi des Muses
Pages 94 à 95
XXXVI. Chanson des yeux et XXXVII. Un jeune homme fou par amour (Le commencement est imité de Shak.f.p. of Henry IV.)
Pages 95 à 109
Épigrammes
Pages 109 à 127
Poésies diverses
Pages 131 à 131
I. À Abel (de Malartic de Fondat)
Pages 132 à 133
II. Élégie tirée d'une idylle de Bion (Idylle III)
Pages 133 à 135
III. Ô lignes que sa main, que son cœur a tracées
Pages 135 à 137
IV. Ah ! je les reconnais et mon cœur se réveille
Pages 138 à 138
V. Jeune fille, ton cœur avec nous veut se taire
Pages 139 à 141
VI. Aux frères de Pange (en partant pour l'Italie)
Pages 141 à 143
VII. Aux frères de Pange
Pages 143 à 146
VIII. Pourquoi de mes loisirs accuser la langueur ?
Pages 146 à 148
IX. Le retour
Pages 148 à 151
X. Au chevalier de Pange
Pages 151 à 152
XI. Ah ! portons dans les bois ma triste inquiétude
Pages 152 à 153
XII. J'ai suivi les conseils d'une triste sagesse
Pages 154 à 156
XIII. Ô Muses, accourez ; solitaires divines
Pages 156 à 158
XIV. Souvent le malheureux songe à quitter la vie
Pages 159 à 161
XV. Ô jours de mon printemps, jours couronnés de rose
Pages 161 à 163
XVI. Ah ! des pleurs ! des regrets ! lisez, amis. C'est elle
Pages 163 à 165
XVII. Au marquis de Brazais
Pages 165 à
XVIII. Mais ne m'a-t-elle pas juré d'être infidèle ?
Pages 167 à 168
XIX. L'art des transports de l'âme est un faible interprète
Pages 168 à 171
XX. Reste, reste avec nous, ô père des bons vins !
Pages 171 à 173
XXI. Ô nuit, nuit douloureuse ! ô toi, tardive aurore
Pages 173 à 182
XXII. Première version
Pages 182 à 183
XXIII. S'ils n'ont point le bonheur, en est-il sur la terre ?
Pages 183 à 184
XXIV. Souffre un moment encor ; tout n'est que changement
Pages 184 à 186
XXV. Non, je ne l'aime plus ; un autre la possède
Pages 186 à 188
XXVI. Et c'est Glycère, amis, chez qui la table est prête ?
Pages 188 à 190
XXVII. À M***
Pages 190 à 191
XXVIII. De Pange, ami chéri, jeune homme heureux et sage
Pages 191 à 193
XXIX. À Le Brun
Pages 194 à 195
XXX. De Pange, le mortel dont l'âme est innocente
Pages 196 à 199
XXXI. À Le Brun
Pages 199 à 201
XXXII. Hier, en te quittant, enivré de tes charmes
Pages 201 à 202
XXXIII. Ô nécessité dure! ô pesant esclavage
Pages 202 à 204
XXXIV. Allons, l'heure est venue, allons trouver Camille
Pages 204 à 207
XXXV. La Lampe
Pages 207 à 210
XXXVI. Je suis né pour l'amour, j'ai connu ses travaux
Pages 210 à 213
XXXVII. Aux deux frères Trudaine
Pages 213 à 214
XXXVIII. Oh ! puisse le ciseau qui doit trancher mes jours
Pages 214 à 214
XXXIX. Eh bien ! je le voulais. J'aurais bien dû me croire
Pages 215 à 215
XL. Tout mortel se soulage à parler de ses maux et XLI. Quand à la porte ingrate exhalant ses douleurs
Pages 216 à 216
XLII. Tout homme a ses douleurs. Mais aux yeux de ses frères et XLIII. Le courroux d'un amant n'est point inexorable
Pages 217 à 218
XLIV. Viens près d'elle au matin, quand le dieu du repos et XLV. Va, sonore habitant de la sombre vallée et XLVI. Il n'est donc plus d'espoir, et ma plainte perdue
Pages 218 à 219
XLVII. Partons, la voile est prête, et Byzance m'appelle et XLVIII. Eh ! le pourrais-je au moins ? suis-je assez intrépide ?
Pages 219 à 220
XLIX. Souvent le malheureux sourit parmi ses pleurs
Pages 220 à 222
L. De vivantes couleurs une toile enflammée
Pages 288 à 289
LI. ... Ile charmante, Amphitrite, ta mère
Pages 223 à 223
LII. Soit que le doux amour des nymphes du Permesse
Pages 224 à 225
LIII. Sur la mort d'un enfant
Pages 225 à 226
LIV. Allons, douce Élégie, à qui dans mes beaux jours
Pages 226 à 227
LV. Le fantôme s'exhale et nage et fuit mes yeux et LVI. Que sert des tours d'airain tout l'appareil horrible ?
Pages 227 à 228
LVIII. Pour elle, en ce moment, au sortir de son lit et LIX. Je revois tous ses traits, son air, son vêtement
Pages 223 à 223
LX. Ô ! de nœuds mutuels, Dieux, formez nos liens !
Pages 229 à 230
LXI. Non, ces doctes beautés n'ont plus d'attraits pour moi et LXII. Non, laisse-moi, retiens ces discours caressants
Pages 230 à 230
LXIII. Vois ta brillante image à vivre destinée et LXIV. Elle a pu me bannir ! Imprudente et sans foi
Pages 231 à 231
LXV. Je dors, mais mon cœur veille, il est toujours à toi et LXVI. Ainsi le jeune amant, seul, loin de ses délices
Pages 232 à 233
LXVII. ...Ô peuple des oiseaux et LXVIII. Et moi, quand la chaleur ramenant le repos
Pages 233 à 235
LXIX. Triste chose que l'amour et LXX. À l'heure où quelque amant inquiet, agité
Pages 235 à 236
LXXI. On ne vit que pour soi ; l'amitié n'est qu'un nom
Pages 236 à 238
LXXII. Je t'indique le fruit qui m'a rendu malade
Pages 238 à 239
LXXIII. Jeune vierge à l'œil doux, à la voix douce et tendre et LXXIV. Marseille
Pages 240 à 240
LXXV. La Seine en sortant de Paris et LXXVI. Des monts du Beaujolais aspect délicieux
Pages 241 à 244
LXXVII. Notes et fragments
Pages 244 à 245
LXXVIII. Tu dis qu'on a dit du mal de moi
Pages 245 à 247
LXXIX. L'emploi de la vieillesse est plus sage et plus beau
Pages 247 à 249
LXXX. Élégie italienne Éloge de la vieillesse
Pages 249 à 250
LXXXI. Élégie italienne
Pages 251 à 252
LXXXII. Élégie italienne et LXXXIII. Élégie italienne
Pages 252 à 254
LXXXIV. Élégie italienne
Pages 254 à 254
LXXXV. Élégie italienne et LXXXVI. Élégie italienne
Pages 255 à 256
LXXXVII. Élégie orientale et LXXXVIII. Élégie orientale
Pages 256 à 256
LXXXIX. Élégie orientale
Pages 257 à 258
XC. Élégie orientale : la Solitude et XCI. Notes et fragments pour les élégies orientales
Pages 259 à 259
XCII. Ah ! ne le croyez pas que par moments j'oublie
Pages 260 à 261
XCIII. Fragment d'une poésie
Pages 263 à 269
Table des matières
  • Thème CLIL : 3436 -- LITTÉRATURE GÉNÉRALE -- Oeuvres classiques
  • ISBN : 978-2-8124-2406-9
  • EAN : 9782812424069
  • ISSN : 2417-6400
  • DOI : 10.15122/isbn.978-2-8124-2406-9
  • Éditeur : Classiques Garnier
  • Mise en ligne : 08/04/2014
  • Langue : Français

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