Michel Houellebecq se réclame volontiers de Balzac, incarnation d’un roman capable d’observer et de rédupliquer le monde, et à force de commentaires, d’en exhumer la cohérence, d’en formuler les lois. Prenant la suite de Balzac, Houellebecq traque à son tour les stigmates de la modernité, ses mots creux, ses espaces faussement familiers. Il explore à sa manière le drame ténu des détails, la tragédie de l’infiniment petit. Il témoigne, enfin, d’une époque troublée par la perte de ses valeurs.
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