Le philosophe Vladimir Jankélévitch réduit à deux postures les réactions possibles face à la mort : la résignation a priori, attitude défaitiste, et la résignation a posteriori, optimisme idéaliste. Ces deux options paraissent à première vue incompatibles. Le romancier québécois Sylvain Trudel présente toutefois simultanément les deux positions dans son œuvre, à tel point qu’il semble possible de proposer une synthèse, point de vue inusité.
ISBN :978-2-406-06636-1
ISSN : 2286-136X
DOI : 10.15122/isbn.978-2-406-06636-1.p.0107
Éditeur : Classiques Garnier
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Mots-clés : Littérature québécoise, résignation, mort, Sylvain Trudel, Vladimir Jankélévitch