À la mémoire d’Aaron Natanson ל״ז, mon arrière-grand-père,
qui a sûrement vendu, depuis sa librairie du Quartier latin,
certains des livres dont il sera question ici,
assassiné à Auschwitz en 1942 par ceux qui brûlaient les livres.
À la mémoire de ma grand-mère, Madeleine Lefèvre,
épouse Natanson, (1927-2013), qui m’a aussi donné le goût des livres
et évoquait ses cours de sociologie avec Georges Davy
dans la Sorbonne de l’après-guerre, l’un des derniers durkheimiens.