Au sacrifice presque indicible de la première guerre mondiale semblent répondre, dans Le Baiser au lépreux de Mauriac et L’Enfant chaste de Jean-Michel Renaitour, deux formes de sacrifice imposé par les convenances sociales. Dans le cas de Renaitour, il ne dépasse guère le stade d’un roman-vaudeville, tandis qu’il atteint chez Mauriac la dimension d’un authentique élément de tragédie.