Je traduis essentiellement les gloses marginales. En général, il n’y a pas d’intérêt à traduire les gloses interlinéaires lorsqu’elles proposent simplement un équivalent latin du mot des Métamorphoses. En revanche, lorsque ces gloses développent une explication (et débordent parfois dans la marge), elles me paraissent intermédiaires entre la glose interlinéaire et la glose marginale, et il m’a semblé pertinent de les traduire. J’adopte la même présentation que le texte édité, mais je ne reprends et traduis le mot latin que si c’est lui précisément qui est glosé ; s’il s’agit d’une glose concernant tout le vers, je la traduis directement après le numéro du vers.
J’adopte pour les noms propres la graphie de l’édition et traduction de Georges Lafaye, aux Belles Lettres, sauf quand celle-ci est trop éloignée de celle de notre manuscrit (ces exceptions seront signalées en note). La ponctuation du texte français n’est pas toujours parfaitement identique à celle du texte latin, à cause de la spécificité de chacune des deux langues.
Je n’ai pas remis entre parenthèses les numéros de vers qui se trouvent déjà dans le texte en regard.