Cette étude examine le destin d’un groupe de quelques centaines de Martiniquais, victimes de chômage sur leur île en pleine crise économique et attirés, en 1956, en République dominicaine par le discours politique officiel du Gouvernement français, ventant la prospérité matérielle d’une nouvelle terre promise antillaise, « Terre promise » de papier qui ne fut en réalité qu’un rêve préfabriqué, « vendu » à quelques centaines de désespérés.