L’article montre que Dworkin défend une conception de la neutralité compatible avec le perfectionnisme. Cette compatibilité n’est évidemment envisageable que si l’on établit la plausibilité d’un perfectionnisme non coercitif (ou modéré). L’éthique du défi que défend Dworkin, est, à n’en pas douter, une conception du bien. Une telle théorie est-elle compatible avec l’idéal de neutralité ?
Thème CLIL : 3289 -- SCIENCES POLITIQUES -- Histoire des idées politiques -- Philosophie politique controverses contemporaines