L’article analyse Les Nuits d’octobre en s’appuyant sur le motif de « la clef de la rue », à la lumière du discours d’André Breton qui fit de Nerval un précurseur du surréalisme. Les deux auteurs sont liés par leur aspiration à la liberté de l’imagination, par leur dépendance au hasard, et par leur goût de la flânerie conçue comme un acte de transgression, conduisant au dévoilement de rêves déviants compris comme symboles de désirs refoulés.
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