Mes profonds remerciements vont à Patrick Wotling sans qui ce travail de recherche n’aurait pu se faire. Je tiens à remercier Christophe Bouriau et Michel Le Du pour la confiance et la bienveillance qu’ils ont eu à mon égard. Je remercie également Martine Béland, Céline Denat et Olivier Tinland pour leurs conseils et pour le temps consacré à lire et à discuter le contenu de cet ouvrage. Enfin, mes pensées vont à François Louis et Morgane Fradelizi pour leur soutien indéfectible.