Je remercie Catherine Rideau-Kikuchi, pour l’intelligence de sa relecture comme pour la constance de son amitié. Merci également, parmi bien d’autres collègues, à Martin Aurell, Michel Balard, Florian Mazel, Isabelle Ortega, Philippe Sénac et, bien sûr, Élisabeth Crouzet-Pavan. La publication de cette thèse a été moins rapide que prévue – le collège et le covid, d’autres livres à écrire et une petite fille à faire grandir – mais leurs travaux ont continué, au fil de ces années, à nourrir ma pensée.