Les conjonctures du siècle ne furent guère favorables aux activités économiques. Après 1750, les tensions internationales s’apaisèrent et le duché put bénéficier d’une progressive reprise économique et d’une croissance démographique. La stabilité politique du gouvernement s’avéra favorable à la présence d’étrangers attirés à Turin par l’Académie royale, ce qui contribua à développer les réseaux diplomatiques et à transformer le concept de « militaire ».
