J’aimerais remercier Michèle Clément qui, depuis presque dix ans, m’aiguille, me relit et me corrige. Cette édition lui doit beaucoup sur le plan de la rigueur et de l’érudition mais ce sont aussi son enthousiasme, sa confiance et ses encouragements qui m’ont permis de la mener à bien. Pour la partie glossaire, je me dois d’exprimer toute ma reconnaissance envers Marthe Paquant et Paul Gaillardon : leur ténacité et leur connaissance encyclopédique des dictionnaires et autres glossaires de la Renaissance ont plus d’une fois triomphé des expressions obscures et des termes de vocabulaire rares que Beaujeu se plait à utiliser. De manière plus général, c’est toute l’équipe du GRAC à Lyon 2 ou à Jean Moulins à Saint-Étienne – Florence Bonifay, Elise Rajchenbach ou Tristan Vigliano – que je tiens à remercier pour leur écoute et leurs idées pertinentes qui m’ont aidé à trouver des solutions aux problèmes rencontrés.