« L’art africain », un art non mimétique selon Senghor, est confronté aux démarches de l’avant-garde française, au début du xxe siècle, décentrée par cet intérêt à un langage plastique méconnu. Les Européens sont transformés par le contact à des objets performatifs ; la relation est une médiation qui n’est pas appropriation. Mais utiliser de nos jours le mot « primitivisme » doit se faire en mesurant les sensibilités culturelles et politiques.
ISBN :978-2-406-15120-3
ISSN : 2261-1851
DOI : 10.48611/isbn.978-2-406-15120-3.p.0145
Éditeur : Classiques Garnier
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Mots-clés : Senghor, art africain, avant-gardes, arts nègres, traduction, médiation