S’il me tombait sur le nez quelques centaines de francs pour mes menus plaisirs, j’irais te rejoindre, mais les temps sont durs et l’âme des éditeurs encore plus […] Nous verrons cela. J’y ferai de mon mieux, comme tu peux croire, car j’adore la Suisse et ferais mille bassesses pour y avoir un chalet au plus noir fin fond des bois et des montagnes.
Lettre de George Sand à Jules Néraud, fin mars 1841.