Il faut chérir les idées qui passent – avec leur battement d’ailes – pesées, tournées et retournées, dans leur silence. Les idées qui voyagent, et qui, parfois, se trompent. Nourrir ces échappées, dans leur sens le plus simple, elles qui divergent, quelque part dans l’invisible …
Il faut chérir les rencontres, quand elles sont impossibles, comme la franchise d’un soir d’été ; et la philosophie, quand elle donne plus qu’on ne pensait.
Une seule idée est déclinée ici : logique, morale, politique – une seule surprise – un seul après, dans un retrait qu’on ne pourrait donner, sans le dédire.