Table des matières
- Type de publication : Chapitre d’ouvrage
- Ouvrage : L’Étoffe des hérauts. L'office d'armes dans l'Europe des Habsbourg à la Renaissance
- Pages : 695 à 700
- Collection : Bibliothèque d’histoire de la Renaissance, n° 16
Chapitre d’ouvrage : Précédent 24/24
Table des matières
Abréviations 7
Avertissement 9
Préface 11
Introduction 19
Un sujet ancien et récent à la fois 20
Les études classiques 20
Nouvelles approches 21
Pourquoi un livre de plus ? 25
Produits et symboles d’une société 25
Élargir la focale 28
Inventer une démarche 29
Sources 32
Les archives : comptes, procès et correspondances 32
Les sources normatives et didactiques 35
Les sources narratives 36
Le problème des faux 37
696PREMIÈRE PARTIE
LE MÉTIER DE HÉRAUT
Faire corps 43
En quête d’une définition légale 44
De l’histoire à la coutume 44
Les tentatives de réglementation
de la fin du Moyen Âge 52
Dans la cour et les communautés 62
Les hérauts à la cour : le système des maisons 62
En marge de la cour : les hérauts des communautés 76
Paiements, gages et largesses 80
Au quotidien : gages et pensions 81
Les parties extraordinaires 91
La carrière héraldique 107
Le cursus du héraut 107
La théorie 107
Quelques exemples pratiques 113
Avec les lunettes du social… 134
Le milieu social des hérauts 134
La montée des administrateurs 141
Un office sans frontières 142
Sortir de l’office 147
Un office en déclin numérique 153
Essai de dénombrement des officiers d’armes 153
L’avènement des « tenant lieu de héraut » 164
Un corps d’experts 173
Un office qui se veut fondé sur un savoir 173
Le motif de la fondation mythique de l’office 174
Un devoir essentiel du héraut 182
697Le traité de héraut comme genre :
une rhétorique du savoir 189
Une figure d’expert ? 200
Constituer une expertise : la formation des hérauts 201
La fabrique du héraut 201
L’expertise en action 207
Une expertise reconnue ? 222
Des experts sollicités 223
Une expertise sans monopole 229
La critique du savoir des hérauts 232
DEUXIÈME PARTIE
« L’OFFICE D’ARMES
DOIT HONNOURER LES NOBLES »
Les gardiens de la chevalerie 241
Un argument central du discours des hérauts 242
Un office créé pour exalter la chevalerie 242
Une teinte chevaleresque très présente 250
Un problème de définition 258
Mettre en scène la chevalerie des nobles 260
Promouvoir une identité guerrière 261
L’ordre de la Toison d’or :
une compagnie de parfaits chevaliers 272
Des trompettes de la renommée 277
Un modèle problématique 282
Des disparités très importantes 282
Les hésitations des sociétés bourgeoises 287
Une culture passée de mode ? 297
Aux côtés d’une noblesse en mutation ? 301
Les auxiliaires d’une poussée lignagère 302
L’envahissante question du lignage 302
698Le culte des ancêtres 310
Les hérauts au service d’une crispation lignagère ? 321
Ordo-Taxis 327
Une société hiérarchisée 327
Un outil de la faveur du prince 335
L’inflation des titres 338
L’image d’une noblesse de papier ? 348
Une culture de l’écrit 349
L’apparition du certificat 356
Le laboratoire navarrais 362
Du songe au cauchemar 369
Le héraut : un personnage de roman ? 370
Aux frontières du réel :
le héraut face au roman 370
Vivre comme dans un songe 378
Aux quatre coins du monde 387
Un temps de désordres 392
La conscience du déclin 392
Le lien entre le destin de l’office et celui des nobles 400
Hérauts et nobles dans les Troubles 402
Réinventer l’office 414
L’apparition d’un discours de réforme 414
Une solution policière 418
Épilogue : les édits héraldiques de 1595 et 1616 425
TROISIÈME PARTIE
« UNG OFFICE ROYAL »
Au service d’un roi chevalier 435
Le prince des hérauts : et monarque, et chevalier 436
Une dualité bien présente dans la tradition de l’office 436
Aider son prince à acquérir « bruict, los et pris » 441
699Toison d’or, l’empereur et les arts :
roi chevalier ou imperator ? 448
Les serviteurs du premier des chevaliers 457
Primus inter pares : un chevalier parmi ses pairs 458
Le principe de démultiplication 464
Une magnificence sans rivale 472
Charles et Philippe : la chevalerie incarnée ? 478
Des princes destinés à la chevalerie 479
Charles, le croisé de la foi 485
Philippe II, chevalier puis roi, mais pas roi chevalier 494
Le temps qui passe 497
Souveraineté et majesté 501
Majesté et souveraineté : à la recherche des concepts 502
Un problème de définition 502
Approcher la nature du pouvoir
par les discours des hérauts 507
Lèse-majestés 513
Souveraineté, prééminence et sacralité 515
Le cri du héraut et la souveraineté du prince 516
Au service du juge suprême 524
La Toison d’or : au-delà de la chevalerie,
la sacralité et la prééminence 528
Fons honorum :
des agents de la justice distributive du prince 540
Le devoir du prince 540
Le héraut : un faire-valoir du prince
dans la collation des honneurs 544
Au service de la noblesse, mais au profit du prince 548
Dans le ballet diplomatique 555
Un office taillé pour la diplomatie 557
« Légatz généraulx et messagiers espéciaulx » 557
Un messager hors du commun 563
Un personnel compétent 571
700Dans la guerre et dans la paix 575
Des acteurs importants du rituel diplomatique 575
Les hérauts dans la guerre 582
Quelle diplomatie ? 592
Le recentrement sur des missions de prestige 592
Une diplomatie de chevalier 598
Mettre en avant la suzeraineté de l’empereur 613
Un outil pour qui ? 617
Conclusion 621
Un métier en mutation profonde 622
Une noblesse hésitante 624
Rois, empereurs et chevaliers 625
Annexe I
Répertoire des officiers d’armes entre 1507 et 1580 629
Annexe II
Cartes 635
Sources et bibliographie 639
Index des officiers d’armes 685
Index des traités 691
Table des figures 693
- Thème CLIL : 3387 -- HISTOIRE -- Renaissance
- ISBN : 978-2-406-10121-5
- EAN : 9782406101215
- ISSN : 2264-4296
- DOI : 10.15122/isbn.978-2-406-10121-5.p.0695
- Éditeur : Classiques Garnier
- Mise en ligne : 13/05/2020
- Langue : Français