Une bourse d’études Prescott W. Townsend, octroyée par le département de Lettres classiques de l’université Cornell, m’a permis d’achever l’avant-dernière version de ce livre à Oxford (1984-1985). Ma gratitude va à Sir Kenneth et Audrey Dover pour avoir contribué à y rendre mon séjour aussi agréable que possible. Une bourse de la Dotation nationale pour les Humanités au Centre national des Humanités (1987-1988) m’a finalement permis, dans des conditions tellement idylliques qu’elles en devenaient presque gênantes, de mettre un point final à ce projet.
Pour la générosité avec laquelle ils ont prodigué à ce travail leurs précieuses critiques, je dois beaucoup à Julia Annas, Elizabeth Asmis, John Coleman, Gail Fine, David Furley, Gordon Kirkwood, David Konstan, Tony Long, Matt Neuburg, Martha Nussbaum, Piero Pucci, John Rist, Anne Scott, David Sedley, Christopher Shields, Richard Sorabji, Gisela Striker et Jennifer Whiting. Je remercie aussi le relecteur anonyme de Cornell University Press, Neil Beshers, ainsi que Bernhard Kendler et Marylin Sale pour m’avoir suggéré d’utiles modifications de la présentation initiale. Matt Neuburg a corrigé les épreuves avec un soin méticuleux, une connaissance subtile de la langue grecque et de la littérature classique et en insistant avec rigueur sur la cohérence des conventions requises en matière de citations. Pour finir, je m’acquitte d’une dette ancienne toute particulière en exprimant ma gratitude envers Terry Irwin qui, avec grand soin, a guidé ce travail et veillé sur lui dès les premiers commencements.
Une première version, légèrement différente, du chapitre 3 a été publiée sous le titre « Épicure, l’amitié et l’altruisme » dans les Oxford Studies of Ancient Philosophy 5, éd. J. Annas, Oxford, 1987, p. 127-153.
